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·40

H1sT01Itl!

gage qu'il avoit tenu

a

M. Fouler,

il

le tien.:

droit

a

l'univers entier; qu'au reíl:e, il ne

plaindroit pas rrop un amant pour leq

uel je

commencerois

a

fentir de la pitié ;

par

.ce

qu'elle prépare le creur

a

l'amour,

& qu

e

lui-meme en avoir fait l'expérience avec

fa

femme , dont il avoit ét'é follement amou–

reux ; enfin , qu'il ne_pouvoir me diffunuler

que M. Fouler étoit fon ami.

Ainíi , ma chere, ce M. Foulerparoít a{fez

perfuadé qu'il a rrouvé une femme qui lui

convient; mais je doute que votre Henriette

ait rencontré l'homme dont elle juge

a

propas

de f..ure fon mati.

LE T T RE V 1 l .

.

Mifs

BYRON_

J

Mifs

SELBY,

z

Février.

S

r

R

Roland vint lui-meme hier au matin,

tendre

fa

premiere viíite

a

M. ·Reves ; mais,.

avant que de s'expliquer fur les motifs qui

l'

amenoienr,

il

demanda

la

pennillion de me

voir. Je ne le connois poiI,i.r encore. Nons

étic;ms

a

déjeuner. 'Mifs Alleíl:ris , tnifs Bram–

ber

&:

mi[s Dolyngs , qui eíl: une jeune per–

fonne de mérite, étoienr avec

nous.Jv

1.Reves

introduiíit le vieux, chevalier Galo.is avec les

civilités ordinaires , mais fans lui faire c:oú-:;

~- ~'. .

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