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gage qu'il avoit tenu
a
M. Fouler,
il
le tien.:
droit
a
l'univers entier; qu'au reíl:e, il ne
plaindroit pas rrop un amant pour leq
uel jecommencerois
a
fentir de la pitié ;
par.ce
qu'elle prépare le creur
a
l'amour,
& que
lui-meme en avoir fait l'expérience avec
fa
femme , dont il avoit ét'é follement amou–
reux ; enfin , qu'il ne_pouvoir me diffunuler
que M. Fouler étoit fon ami.
Ainíi , ma chere, ce M. Foulerparoít a{fez
perfuadé qu'il a rrouvé une femme qui lui
convient; mais je doute que votre Henriette
ait rencontré l'homme dont elle juge
a
propas
de f..ure fon mati.
LE T T RE V 1 l .
.
Mifs
BYRON_
J
Mifs
SELBY,
z
Février.
S
r
R
Roland vint lui-meme hier au matin,
tendre
fa
premiere viíite
a
M. ·Reves ; mais,.
avant que de s'expliquer fur les motifs qui
l'
amenoienr,
il
demanda
la
pennillion de me
voir. Je ne le connois poiI,i.r encore. Nons
étic;ms
a
déjeuner. 'Mifs Alleíl:ris , tnifs Bram–
ber
&:
mi[s Dolyngs , qui eíl: une jeune per–
fonne de mérite, étoienr avec
nous.Jv1.Reves
introduiíit le vieux, chevalier Galo.is avec les
civilités ordinaires , mais fans lui faire c:oú-:;
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