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H

r s

T'

o

i.

:rt

s

-

fions , par

1'

étalage de fon bien , tandis que

celui qui

he

l'eft pas., éloigne, autanr qu'il'

peut, cette facheuíe idée,

&

fe

retranche f

ur

l'

a.mour , qui eft fon feul cri

?

Mon.Geur Reves, qui

a.

fort

bonne opi–

nion de

M.

Fouler, lui repondit qu'il

me

croyoit le creur libre ,

&

que je n'avois

pas d'autre dépe1ada111ce que celle du ref–

peét, pour des parents

a

qui je tenois plus

étroitement par ce lien que par celui de

l'inrérer.

11

loua mes bonnes-qualités, c'eíl:–

a-dire , mon humeur

&

ma fi:-anchife natu–

relle ,

la

derniere aux dépens de mon

f

exe;

de quoi je

l'

ai peu

r~mercié

} lorfqu'il

m'a

fait ce récit.

En

un mot , il !'informa de

tout ce qu'il jugea néce.ffaire ,

&

de plu–

íieurs chofes meme qui ne

l'

étoient pas

,

telles que la confiance

& .

la bomé qui por–

tent mes parents

a

fe repofer de

111011

choix

fur moi-mei;ne,melant

a

ce dérail une infiniré

d'éloges, qui ne peuvent etre excufés que

par l'excellencede fon crenr,

&

par

w1epar–

tialité

·affez

claire en faveur de

fa

couíine.

Cette condefcendance de ma famille ,

a

fe

rapporter de

tOUt!

a

moi

Qá l1S

une affaire

de

cette nature, parur alar

mer M. F

ouler. Les

occaíions

&

1~

~ off

res ,

A

répond.it-

il,,

n'ayant

pu

manquer d

et.re

extremement frequentes,

il

craignoit ql.[@ ce

ffit

un obftacle pour fes

efpérances. Si vous en furmez qnelqu'une,

répliqua

M.

Reves, c'efl:

fur

la bonté de

votre caraél

:ere

qu'

elle doit erre fondée,beat1-

coup

¡Dlus·

cql.le

fw:

l'

édat

de

v0tre fomme..