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E
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mantes. Dites, M. Reves, me fuis-je
ttomp&
fur
la flamme de mon neveu ? La flamme ,.
n'
eíl:-ce pas ainfi que celas'a.ppelle
a
Londres?
M.
Reves lui répondit qu
il
ne
[e
trompoiti
pas,
&
que c'étcit unifs Byrou. Eufoire, avec·
l;i
partialité qu'il a noujot1rs pour moi-, il ne
confulta que fon creur pour commencerrnon
éloge. Graces au ciel , graces au ciel , s'écriai
le vieu:x chevalier. IR.entrons ; retotllrnons
}?res
cf
elle , je veux clire quelque chofe qui
rengage
a
pader. Qu'elle ne c.raigne point)
je ne dirai rien qui Jmiífe luí caufer de !'em–
barras.
Si
fa
voix
répond
a
tour le reíl:e , je
m'
attends que ee
fera
toute harmonie. Le
Con
de la voix , eutendez-vous,
M.
Reves? me
fait juger du creur , de
l'
ame
&
du caraél:ere
de ce fe:xe.
C'
eíl: une découverte que je ne
dois qu'a moi-mfaiFte. Rentroms, renrrnns,
je
vous em fopJ?lie.
· 1ls
s'
étoieiat
li
pe1:1 éloignés de la po.l'te, que
uous av.ions entendu
aflez
diilin.étement ce
prélude. Ils reprirent leru:s chaifes, apres quell
qµes excufes que fir Roland crut nous de–
voir , pour avoir p.ris M. Reves
a
l'
écart.
lci , ma cheFe, ne comptez pas que je puilfe
me rappeller une des plus fuigulieresconver–
farions qui furent jamais. Les quefüons du
vieux gentilhomme , les bon.s mots de fon
ami, les fines plaifanteries de
fa
pFovince,
le·s expreílions de
fa
tendreffe pour fon neven
&
de fon adiniration pour moi, nous forme·
t¡ent une
fcene a laquelle je·me puis ríen oom·
paFer.
ll
voW.ut faw.irfi.
mes affelfrions
n'é~