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42.

. H

t

s

T

o

I

R:

E

.-

mantes. Dites, M. Reves, me fuis-je

ttomp&

fur

la flamme de mon neveu ? La flamme ,.

n'

eíl:-ce pas ainfi que celas'a.ppelle

a

Londres?

M.

Reves lui répondit qu

il

ne

[e

trompoiti

pas,

&

que c'étcit unifs Byrou. Eufoire, avec·

l;i

partialité qu'il a noujot1rs pour moi-, il ne

confulta que fon creur pour commencerrnon

éloge. Graces au ciel , graces au ciel , s'écriai

le vieu:x chevalier. IR.entrons ; retotllrnons

}?res

cf

elle , je veux clire quelque chofe qui

rengage

a

pader. Qu'elle ne c.raigne point)

je ne dirai rien qui Jmiífe luí caufer de !'em–

barras.

Si

fa

voix

répond

a

tour le reíl:e , je

m'

attends que ee

fera

toute harmonie. Le

Con

de la voix , eutendez-vous,

M.

Reves? me

fait juger du creur , de

l'

ame

&

du caraél:ere

de ce fe:xe.

C'

eíl: une découverte que je ne

dois qu'a moi-mfaiFte. Rentroms, renrrnns,

je

vous em fopJ?lie.

· 1ls

s'

étoieiat

li

pe1:1 éloignés de la po.l'te, que

uous av.ions entendu

aflez

diilin.étement ce

prélude. Ils reprirent leru:s chaifes, apres quell

qµes excufes que fir Roland crut nous de–

voir , pour avoir p.ris M. Reves

a

l'

écart.

lci , ma cheFe, ne comptez pas que je puilfe

me rappeller une des plus fuigulieresconver–

farions qui furent jamais. Les quefüons du

vieux gentilhomme , les bon.s mots de fon

ami, les fines plaifanteries de

fa

pFovince,

le·s expreílions de

fa

tendreffe pour fon neven

&

de fon adiniration pour moi, nous forme·

t¡ent une

fcene a laquell

e je·me puis ríen oom·

paFer.

ll

voW.ut faw.ir

fi.

mes affelfrions

n'é~