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DU CHEV. GRANDISSON.

4'.I:

·no1rre laquelle de nous étoit miíS Byron.

Auili ne dit-il pas un moten s'aífeyant; mais

nous ayant regardées tour-a-tour ,

&

fixant·

les

yeux fur miiS Alleíl:ris, il pouífa M. Reves

par

le coude. M. Reves gardoit le Glence.

Sir

Rola.nd_, qui a la vue courte, continua de la

promener , en fe ridant le front , fur mifs

Bramber

&

fur mifs Dolyngs ;

&

lorfqu'elle

fot tombée fur

moi

'

il dit quelques mots

a

l'

oreille de M. Rev

es.

On lui fervit du thé,

qu'il recut avec un

a.ir

d'imparience

&

d'in~

certitud'e. Enfin, p

ren

anr M. Reves par un

des boutons de fon ha.bit, il lui dit qu'il avoit

al'

entretenir unmomenr. Ils fortirent enfem–

ble; non, je ne me trom_pe point, commem;a

. vivement le chevalier, fans quitter le bouron

qu'il tenoit. Ecoutez-moi, M. Reves;j'aime

mon

neve

u comme moi-meme. Je ne

vis

que

pour

lui.Il

a toujours étérefpeétueuxpour fon

onde

. Si e

'

eíl: mifs Byron qui eíl: affife a droite

de Mad. Reves , avec une contenance angé–

lique, les yeux brillants, de bonne humeur,,

&

le vifage au!Ti fleuri que le printemps,

l'

af–

faire eíl: faite. Je donne mon confentement.

Quoique je n'aie pa$ encore entendu

for

tir un

mot de

fa

bouche, je fuis fúr qu'elle

e.íl:

toute

efprit. Mon neveu n'en aura point

d'

autre.

Les trois jew1es perfonnes

qui

font avec elle,;

paroiífenr n·es-agréables;maisíic'eíl:pourcelle

dont je parle que mon neveu a pris de l'incli–

nation,

il

n'en aura poinr d'autre. Qu'elle va

briller parmi nos dames de Caermarhen

!

&

.e;ependamle

pays

deCaermarhen en

a

de

char~