DU
C,HEV.
GRANDISSON;
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la
meme habitude ; mais elle me
l'
a refu{ee
avec beaucoup de modeíl:ie. La troiíieme
étoit fur la niort d'une chere fauvette, un
reu trop pathérique a mon gré pour l'occa–
Iion; car
fi
mifs d'Arlingwn avoit le malheur
de perdre le meilleur de fes amis, il me fem.::.
ble que dans cerre piece, qui eíl: alfez longue,
le fujet eíl: épuifé ,
&
qu'elle
[eroit
obligée
d'en emprunter quelques images. Jeconc¡ois
qu'il
e{I:
difficile aux jeunes perfonnes , qai
font nées avec quelque génie , de régler leur
imagination. L'abondance de leurs idées les
emporre fouvent au dela de leur fujet;
&
,
pour vouloir tout dire , elles ne difent
pa~
ce ciu'il convient. Mais
>
a
tour prendre,
j'
ai
trnuvé la piece
fort
jolie.
Jeudi
~6.
Nous
e~mes
hier
a
fouper miladi Pen
WiHiams (-1<). C'eíl: une femme rres-agréa–
ble, veuve d'un homme efümé,
{$<:
proche
parent de M. Reves. Son age paroit d'en–
viron quaranre ans. Elle a pris beaucoup
d'affeél:ion pour moi ;
& ,
pour commencer
notre liaifon ' e!Ie veut erre de toutes les
parties de plaiíir ou je me trouverai enga–
gée. Elle obferva qµe ceux qui connoiífent
bien les grandes villes
fe
font une fete d'y
accompagner les érrangers. Les nouvelles
remarques,
&
les comparaifons qu'ils enten-
( * )
Ptn
,
qui fe pJonon'c
Penn1,
efi un nom
l'OUr
Pénéloppc,
B4