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H1sT. 0>1n.11

m.üs

iI

fernbloit prendre plaifrr au fon de

fa

pr0p

revoix. Cet admirable hommes'eíl:rap–

pelU!

~u

elqu

es

rnagnifiqPes complirnemts

>–

qµ'1l

in

a

fa.it

l'hcnneu¡· de m'ap¡:1iquer, en

paroiíEu:i

t s'a

trendre que j'en pret1drois meiJ...

leure opinicn de moi n::erne. Je ne m'étonne.

point que les hommes en aient une

fi

mau–

vaife des femmes-, s'ils n0us croient capa...

bles d'entendre avec plaiíir t:mt de fottiies,.

hafordées fous le nom de complimenr

s.

Nous avons ·eu

cet aprt.s-midi, la

vi.tí.re

Je mifs Stev ns , ,filie du colonel de ee

nom.

flle (e--reífent du mérite de

fotri

pe¡¡e , qui

paffe pour un homme du premier ordre.

Je

n'ai pas vu de phyíioncmie plus intéreífanre,.

avec moins d'affeétarion. Ma couíine Reves

dit

qu'elle a beaucoup de lell:ure; mais on

ne

s'

apper<;oitpoint qu'elle en tire vaniré.Elle

étoit aca.ompagnée de mifs d'Arlington,.

qui efr

fa

parenre ,

&

qui a du ralenr pour

la

po~lie-.

A la priere de Mad. Reves, mifa

d'Arlington nous a lu deux ou rrois de

fe,_

produétions. Comme elle n'y a

conl

enti

qu'apres quelques réfifrances , je ne

fa.is

s'il

m'eíl: permis d'en parler. 1.'une ét

oit L

ur la

Í'éparation de cleux amanrs, li tendre

&

íi

trouchante , qu'il paro11' que

l'

agréable mufe

u'ignore pas les peines qu'on peut reífonti.c

innocemment dans cette occalion.

La

fe–

conde, quiétoitune defcriptionde l'aurore

&

<lu lever du foleil, reDd du moins témoignage

qu'.elle aime

a

fe lever mati

n. Je lui e

n. ai

~emandé

une copie> pour me

confinn.er

dan~