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68:

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1t

~'

furte indination pour elle. Que je fero.is–

heureufe ' me fuis-je dit

a

moi~méme'

de

pouvoirobteriit: une tellemere, fáosdevenü:.

la

femme de fon fils

!

&

dois-je refufor de le

voir,

fi.

Fon me demande une entrevue.?

fill'–

rout lorfque miladi femble '\!ouloiF perfuader

a

la C©mteffe qu'un áutre n'a pas la tnqindre

vue.... Ao fond , je ne d'éfire pas que cer

aun·e.... du moins

fi....

j,e ne fais plus , ma

ébere E

ucie,

ce que je voulois ajo_uter; inais

je

vous

pr.ie

de bien afforer ceux qui s'inté–

reffenr.

a mo

i-' que jamais ils ne me verronr

engagée d<ins une pafüon fal'l& eípoir. Non:,

non. lis peuvent compter fa-deJfos.

Mais-, que je vous

fuííe

une quefl:ion, ma

~u.cie-,

une quefüon puérile, jele reconno!s,

~

v:ous qui avez ew le cceur pris , .c01nme–

vous me l'avez confeifé;

&

qui vous

eres

heureufement dégagée. Je me furprends,.

depuis quelques jours , dans l'ufage

4e

cer- ·•

iains termes, tels qu'un autre, quelqu'un ,.

i1, l'.ui , au Heu d'écrire haidiment, comme

je faifuis roujours

,ftr C!tar/eJ,

ou

le cheva/ier

(frandij{on,

qui_fonttles tetmes plus mefurés,

quoiqµ'aífurément je ne manque point de,

conGdér

ation po

ur un homme qui mérire–

c;elle de

wut.le.

monde. Que veux-je vous

faire entendre

?

Eíl:~ce

un figne

? •••••

Ah ,

Lucie

!

vous m'avez menacée d'avo

ir

l'

a:il–

ouv€irt fur moi ,

&

ne vous ai-je pas dit

q~e

je

r

ouv...rirois autli moi-meme

?

Yerois fin–

cere ; vous

le

croirez fans peine , en voyant

que des remarques--

fi

légeres- ne peuvenr

m'échapper.