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furte indination pour elle. Que je fero.is–
heureufe ' me fuis-je dit
a
moi~méme'
depouvoirobteriit: une tellemere, fáosdevenü:.
la
femme de fon fils
!
&
dois-je refufor de le
voir,
fi.
Fon me demande une entrevue.?
fill'–
rout lorfque miladi femble '\!ouloiF perfuader
a
la C©mteffe qu'un áutre n'a pas la tnqindre
vue.... Ao fond , je ne d'éfire pas que cer
aun·e.... du moins
fi....
j,e ne fais plus , ma
ébere E
ucie,ce que je voulois ajo_uter; inais
je
vous
pr.iede bien afforer ceux qui s'inté–
reffenr.
a moi-' que jamais ils ne me verronr
engagée d<ins une pafüon fal'l& eípoir. Non:,
non. lis peuvent compter fa-deJfos.
Mais-, que je vous
fuííe
une quefl:ion, ma
~u.cie-,
une quefüon puérile, jele reconno!s,
~
v:ous qui avez ew le cceur pris , .c01nme–
vous me l'avez confeifé;
&
qui vous
eres
heureufement dégagée. Je me furprends,.
depuis quelques jours , dans l'ufage
4e
cer- ·•
iains termes, tels qu'un autre, quelqu'un ,.
i1, l'.ui , au Heu d'écrire haidiment, comme
je faifuis roujours
,ftr C!tar/eJ,
ou
le cheva/ier
(frandij{on,
qui_fonttles tetmes plus mefurés,
quoiqµ'aífurément je ne manque point de,
conGdér
ation pour un homme qui mérire–
c;elle de
wut.le.monde. Que veux-je vous
faire entendre
?
Eíl:~ce
un figne
? •••••
Ah ,
Lucie
!
vous m'avez menacée d'avo
ir
l'
a:il–
ouv€irt fur moi ,
&
ne vous ai-je pas dit
q~e
je
r
ouv...rirois autli moi-meme
?
Yerois fin–
cere ; vous
le
croirez fans peine , en voyant
que des remarques--
fi
légeres- ne peuvenr
m'échapper.