nu
CHE'V.
GR.ANDrssoN.
rG1
laiantt
aux yeux.
J'ai
[en
ti daos ce momenc
mes.efprins
fol!t
abattus.
Cep.endant
j'ai
demandé ame. deux
Camrg:
~
la comteífe étoit de leur
coNnoiífan~er
Miladi
L..... m'a répondu qu'elle l'a con–
noíífoit depuis long-temps,
&
m'a
fu1t
Ulíl.e_
peinture
fort
avautageufe de fon caraél:ere.
E:lle m'a fait auili cell:e de i.níl0rd
D...
auque~
il
fo;nble qu'H n'y a ríen
a
reprocber. MiíS
Grandiífon a voulu favoil! G¡uels poU'Voient:
erre mes m0tifu pour refufer
Ul};
homme reh
que lui. Je lui ai di.t: que je ne
voulois plus,
enrendre parler des hommes;
<
!J.Uej'éroís
dé~
·goutée de toute
la
race,
&
qu
e j'avoís cierre
obligatien
a
fo:
Hargrave. Elle n'en a rieni
voulw croii:e ;
&
fon agréable efprit s'efü
exercé kmg--temps
iw
l'alternative qu'elie;
venoir d'énabliJ.;. Sa
f
reur a cru devoír
l'
acre-·
ter. Ne finirez·vous point? luí a-r-elle dit,
& ·
fe tournant vers moi,
ah!
chere
mifs
Byron.,
v.ous n.'obtiendtez
r~en
de cette fulle U.napi–
narion , que toute
fa
ch:i.leur ne f.01r é¡;mííee ;
1
&
G.
vous avez un [ecret, le meilieu11 parti efb
de l'en informer d'.abord. Charlotte eíl: une
filie généteufe, apras tour, mais c¡uelquefois,
conune
a
ptéfent) d'.une curiofüé qui paífo
les bornes.
Encoi:e une foís, chere I:.ucie, que ·va.u–
lenr dire ces delix
f
rours ?je le cherche aveC.:
éronnement. Me foup<[onnent·elles d'aimer–
quelqu'un ? Il me femble que , généreufeS;
comme elles font, ce n'eíl: pas ce
tte voie.
qu'elles de..v.roient prendr.e,.
lor.G:¡u
~elles.me.