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H

r s

T

<:>

1\.

!

,

<tranquiile ,

&

je vous déclare , M. Reves

~

-que fije n'avois pas trouvé dans le ohevalier

Grandiífon un mérite qui m'étonne, notre

·affaire ne feroit pas terminée comme

elle

F3-J:Olt

l'etre

a

préfent.

Sir Hargrave, lui a

dit

Mad. Reves , pet–

mettez-moi de remarquer que ·pout ceux ·qui

.eon11oiffent

l'

ame de mifs Byron,

il

n'y

a

p~

da

moit1dre apparence de s'imaginer qu'elle

.puiífe jamais... Chere Madame , a-t-il incer–

tdmpu, mille pardons'! mais je ne puis rece–

voir des refus d'une aun-e bouche que de

te.

fienne. Un repentir fincere

n'obtiendra-t~il

rien d'une

íi

belle ame,que je fuppofe d'ail"–

Jeurs fans aucun engagemet1t

?

Je

lui

ai

die

qu'il ne manqeoit rien

a

tn~

explications ,

&

que

j'

étois furptife qu'ayant

connu mes fentimencs avant que de m'avoit

cruellement infulcée,ilput conforver

la

moin–

dre efpérance aprt:s une aétion fi naire.

Il

a

recommencé fur la violenee de fa patlion ,

avec toutes les figures dont j'écois déja

fufr–

guée. Je crois, Lucie, qu'iltne fera

im~of

..

iible, mar tour le reíl:e de mes jours , d en–

t:endre de la bouche d'un homme les terme'S

d'amour, de pa:ffion,

&

les aurres .Aatteries

de cette efpece. J'ajouterai en deux motS;

pour fupprimer cent autres impertinences,

plus fades que toutes les louanges de M.

Eve–

rard Grandiífon, qu'il s'eíl: réduid. demamlet

la préférence fur

M.

Greville, M. Fenwick

&

M. Or

me,

&

qu'en fe prom·enantd'excíc¡;r·

•11a

pir.ié

toe

eu tard , en .faveuc

de

ies

Í0Wf.