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ín~ Cn~v.

GitA?.:»tssoN."

IJJ

womme un enfant, a-t-il ajouté; mais

que~que prome!fe qu'il ait tirée de moi, je ne

ferai point tranquille jufqu'a ce que mifs

:Byron foit miladi Pollexfen.

Je cerrille que cetre relarion conrient

la

vériré, avec auranr d'exaétirude que de bonne

foi.

HENRI COTES.

Suite de la 'Lettre XXX11

l.

Pendant que M. Reves tranfcrivoit le mé·

!noire de l'écrivain,GrHargrave s'eíl:préfenré,

fans nous avoir fair donner le moindre avis

de

fa

vifüe. Le creur m'a manqué, lorfqu'on

efl: venu m'avertir que

fa

voiture éroit a la

porte. Il efl: entré.

J'ai

prié M.

&

Mad. Reves

de l'aller recevoir. 11 leur a fair des excufes

fort

foumifes de tous les embarras qu'illeur

a caufés. 11 a rejeré rout fur l'amour : nom

proíl:irné, qu'on

fair

fervir de voile, dans les

.deux fexes ,

a

toutes forres de. violences,

d'indifcrétion

&

de folies.

. J'érois demeurée d:ms mon apparrement;

Mad. Reves eíl: venue me propokr de def–

cendre. Elle m'a trouvée dans un rel effi:oi,

qu'érant rerournée aulliro

r, elle

a erié fu:

Hargrave de ne pas in.filler

fur.le

deíiein de

me voir aujourd'hui. 11 a

proreí

l:é que fon

müqae inrenr

ion, dans

cette vifae, étoit de

medemander

pardon.Il

ne douroit pas, a+il

ajouté, que

tour autre

jour ,

fa

premiere

.-ifite ne me cau!ar

b

meme émotion.

Aiuíi

G'