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ff:I

H

1

s

T

o

1

1l

~

plus

a

creur

!

Qu'il foit mon amí for

~et

llnique point,

&

je luí pardonne tout le

iefte.

'

Sir Cñ,

Une femrne,

fir

Hargrave, doit:

·ctre

1

maltrelfe de fes

i-nclinations. Je

n'~

acquis auctm droit fur celles de mifs Byron.

Elle efl: d'u."1 caraél:ere excellent; mais vous–

ccnviendtez qu'an ca:ur Ne fe gagne point

par l'épouvante. Je vous a{fi¡re que nous

2_vons

..t~lé. pour

fa

vie.

Il

a fallu tous les

foins

de

m.a

fo:

ur, & d

'un habile i.nédecin,

pour aider

a

la

rétabl.ir

.

Sir Harg.

L

e plus in

flexible de. rous les

hommes

!

Mais- vous n'oppoferez rien du

~oins

a

la réfol4Ü0!1

Oll

je

{uis

de la voir.

Elle reconnol.tra ce que

j'

ai fouffert pour elle.

Cornment puis:...je vous le pardonner

?

Si.

je

ne puis

la

fléchir , ces marques deviendront

fon ouvrage ,

&

je celfai de les re_garder

con-:.m·e

le

vc>tre. LoiB de penfer

~

refhayer,

je velilx renter

d'

obrenir

fa

pitié. Elle fait,

perfonne ne le fait mieux. qu'elle·, jufqu'ou

j'aipouifé laretenue, pendant qu'elle étQiten

mon

r

ouvoii:. Ma feule vue,. j'en jure par

tout ce qui y a de facré, étoit d'en faite

miladiPollexfen.Jelui voyoisautant d'amaiios

que

d'hom~es

qui la connoilfoient; je n'ai

pu fopporter ce fpeél:acle.

Vous,

firCharles,

ft

vous voµlez me fervir en ami , je ne

défefpere point encore, qu'avec tant

d'amo~r

&

desoffi:es fonsbornes.,jene puiífeobterur

fon

ca:ur.