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y
M. Bag.
Vorre tache
e.íl:finie, M.
Cot~
Apportez tout ce que v
ousavez.écrit~
L'écrivain eft venu. M. BagenhaU a de–
mandé
Ú
l'
011
Vfmloit entendre
}a
l€ll:ure 00
· i:ecueil.Sir Hargrave
~prnteíl:é
qu'il ne l'en–
tendroit point, parce qu'il
y
faifoit un trifre
role. Sir Charles a dit qu'il ne pouvoit de–
rneurer plus long-temps; mais que, puifque
le recueil étoit fait,
&
qu'.on lui avoit accordé
une
~pie.
des deme
pre~niers,
il feroit bien
aife
d'en avoir une auffi du tro.iíieme, d'au–
tant plus que s'il
y
trouvoit quelque choíe
,A
fe reprocher; il donne1oit un exemple de
la
dif
pofüion
o.u
il
étoit toujours
a
{e
cen–
damner lui-meme. Ona órdonné de faire une
copie pour
fu:
Charles, c:i.u} a pris congé alors,.
&
que
fu-
Hargrave
&
[es
trois amis ont con–
auit
fort
civilement.
Lodqu'ils font rentrés dans Iamemecham–
bre, ils ont gardé le filem:e pendantquelques
lllinutes, en
fe
l'egardant mmu.ellement,.
comme
{i
chacun avoit attendu que les autres
parlaífent les premiers. Mais
auffitot qu'íls
ont ouvert la bouche ,. ils
fe
fo.artous ré–
pandus fur _les louanges de
fu
C
harles,. qu'ils
011t nommé le plus modeíl:e , le plus poli,
le flus brave
&
le plus noble des hommes.
Cependa11t fes maximes, ont-ils dit, leur
paroiífoient
fort
étranges. Mais
fü
Hargrave
eíl: tombé dans une reverie profonde, dont
fes amis
Ont
eu peine
a
le faire forti!i.
Jl
leul'
.a dit qu•¡¡ ne pouvoit fopporter le fouvenir
ce
toot ce qui yenoit d'arriver.
11
m'a
u¡µté