2
p.
H
l
.s
T
'() l
1t
E
aont l'admiration fembloit
crohre pour
~r
Charles.,
Iui
ont .fait ·diverf
es
quefrions dans
fimerv-alle , fur 1es pri-ncipes de cene gran–
deur d'ame qui les cbarmoit dans fon carac–
tere , & particuliérement fur les motifs
de
fon horreur pour les duels.
Il
les
a
fatisfai~
-avec autant de force dans
fes
raifom1ements
~
que de noble{fo & de civiliré dans
fes
ma–
nieres.
A
pres le déjettner,
M.
Bagenhills'eft
avance
ju
fqu'
a
la porte du cabine-t:) p0ur
foir~
íigne
al'
écrivainqu'ii étoit temps dereprenElr-e
fes funétions.
M. Jordan.
J'ofep-romettre
a
fir
Charles_.
qu'un€
converfation
1i
Íln_guliere, ne ferapas
fans milité pour moi.
Sir Harg.
Fon bien: &moi,jereviensace
qui me touche uniquement.Mifs B
yron-doit
etre
·ª
moi : la viene
m'
eíl: rien fans
el.Je) &
j'
ef ¡Jere que les -0bíl:acles ne viend
ront .pll<lS
de
Ji.r
Charles. .
Si-r Clz.
Mi{s
Byron
eíl: maitreífe d'elle–
meme.
Je
fetois channé ) Meffieurs, <!}UeVOHS
priffiez an jour pour neus
i;aíf
emb~er
daiu
Sai·1t-James-Square.
·
M. Bag.
llreíl:e unecirconíl:ance, dontijC
crois ) Mefüeurs , qM'il
efr
a
propo
"s que
fir
Charles foit informé. V-0us'favez?
f.irCJ;iar–
Jes, quedansledoere des événeme
nts,je me
fuis f.'lit accompagner ckez vous '1l'un jeune
homme qui arecueilli par écrít nos deux _pre-,
m teres tonverfarioas. La rneme -crai'nr-e
11i'a
lai:r obren!r de '!ir Hargrave..,.
Si·r
.J.ilz
r.g.
Oui , ·
Bl\g€-l~ba1L,
&
je vc¡n{s
en