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nu

CHE.V.

G1l:AÑb'.rssoN.

IH

'V'CUX

un mal extretne. Une aifaite, dont je

fouhaitois la publicarion

póttt

inon ho1meoc,

-n'n tourné

qu'ala gloire de

fir

Charles. Pour

qui vais-je paffer

a

préfent?

M. l ordan.

Je ne

vois

den

a

r~gretter

pour

'9ous dans cette occafü:m , ou vous auriez

rnalprofitéí!les noblesfentimentsde firGharlet.

Sir ·Ch.

Comment

done,

Moníieur l3a–

.genhall?

M.

Bag.

J'

ai obtenu de íir Har.grave, .que

le tnetne

jeur:ie

homme , qui efi

d'

une

aif.

·crétion

;i

l'épreuve,

&

le plus habile de

fa

profel~on

pbur les

~10,tes abr~gées,

jerat far

k

P:11'1er

tollt

ce qm s eíl:

paffe.

Il

eíl:

daru ce

'mbmet.

Sir Clz.

Je

ne vous di1funulerai point qtte

rene mé'th0de me parnlt

fort

extraordinaire;

mais comme je ne dis jamais rre:n que je

n'e

pe-rtfe

,

uf1 tecaeil de'mes diíCours ne peut

~tre

effrayant pour moi, lorfque je ne trouve

rien

a

in6

teprocher .dans

ma

mémoire.

M. Bag.

Vous devez etre fort tranquille

~

lfr

Charles.

Il

ne s'eíl: rien paífé, comme fir

Hargtave viene de

l'

0bfetver , qui ne foit

a

votre gloire.

L'

embarras efl: pour nous-memes

qui avons empfoyé l'écrivain. Nous lui avons

.recoi'nmand.é d'erre exaét,

&

de ne s'attacher

(J_u'a

la vériré. Notre efpérance n'étoir guere

de voir finir íi paiíiblement cette entrevue.

M. Jord.

Heureu(e fin, grace au ciel

!

M. Merada.

Tres-heureufe en effet.

Sir 'Harg.

Oui

,

fi

mifs Byron confent

olne f-a!ire

oublier

ce¡ o_clieufes

marques-.

Gj