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N'
Di
s so
w~
1·r,
Ja moiti
é de fonbien. L'odieux perfonnage
a
parlé d
'enfª1J.tS, ma chere , dµ parrage des
enfants. l
ls s'eft étendu avec autant de cotn–
plaifance en lui-méme , que s'il moit été
que0:ion de dreíf-er les arrides de
n~
manage.
Sur la renonciation abfolue que
j' ai faite
a
roures
fes.offre~,
il
rn'
a demandé
íi
J.irChar–
les n'avoitpas fuir qnelqlile impretlio
n furmolil
creur? Je ne fais pourquoi cene queíl:ion
m'a -
f¡
fort irrirée ; mais
a
peine ai-je daigné lui
répondre. Je · vois, ma chere, que
j'ai
plus
d'orgueil que
j~
ne crois. Aífurément, lui
ai-je dit, je ne voµs dois aucun compre.......
Non, Mademoifell
e',a-r-il interrompu, mais
j'iníiíl:efor un rnot d
'explícation.Si'fir Charles
vous a fait_connoit
re qu'il recherche votre
faveur,
il
ne peut me reíl:er d'efpéranCie.
Sir Charles, MonGeur, m'a fervie fans
1nrérét. Sir Charles ne m'a fair... Je me fuis
arrétée ici , fans que je puiífe en apporter de
raifon.
M.
Reves a répondu páur moi, que
.íir
Charles ne m'avoir fait aucune forre
d'
ou–
verture. C 'eíl: le plus noble des hommes
,
a-r-il ajouté. Quand il auroit quelques vues
de cette narure, j'ofe dire qu'il feroit embar–
raífé
a
les expliquer , dans la crainte de dimi–
nuer , par cette déclaration , le mérite de ,
fes fervices. C 'eíl: une fon bonne pen[ée de
M.
Reves. Qui
fait,
ma chere , íi cetre·
réflexion eíl: rout-a-fuit
Can>
fondement.
Ses fervices
!
Jufre ciel
!
a repris le per·
io~mage.
Mais
1
cetre aifu.rance
me rend plut