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b
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il _.,_
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c'ét~t
_H!l'le
favetlc
<!¡1úl
me·
fopplioiníemJ
pas diff.érer,
a
la<!}lifelle
a
avoit meme quelque
~t
par
fes-foúff.fan~es;
&
M .
Reves devoit
s'
appercevoir q1:1'.il
n'
étoit plus le
mem! --–
homme.
D'
aiUeuis,
a-t-i~
<lit encore,puif<qu'il
av0.i-t
íi
'matl
réuffi .dans la fatisf.aéh0U__, qu'i¡
avoit voulu tirer de
fir
Charles, je dev.ois
lui aocorJelJe
p9Úvoj,r~de m~
demander par–
don, comme urre grace qui acheveroit de
le
réconciher avecfon.-:Wverfaire.
-
Quel moyen de réíifre!"
a
cette raifon? je
fois déf'éendue en tremblant. Malgré tol!lS
1es
petitsraifohnementspa<rlefquelsjem'étoispré–
parée
a
prencke
1'
air de dignité qui convit}nt
a
une fenm1e injuriée, je n'ai pu
l'
ap.perce•
voir en entrnnt dans la
faHe,
&
lui vo:ir f.aire
les premiers pas pour s'avancer
vei-S
moi ,
fa~'ls
un
mouvement de terreur, qui
fü'
a
fait
faifa le bras
de M.
Reves.
Mes
regards·ont
t1i!i
(e reffentir de cene impreífion.
Sj
fu:
Charles ei1tét'é
préfentAe foppofequej'
aurois_
eeur1!l
de
inevne
vers
lui~
Chere
&
adorabk honré! s'efl:-il'écrié e·n
~'approchant
-de moi. Que cette terreu1'. a de
Ghannes ,
&
que j'y ·reconnois de jufüce
1
¡nais
j
'ai
;pardonné de plus ·cruelles in
jures,
a-t-il ajomé ·en m.ontrant
fa
bouche. Vous
favez qu'H
n'efr
entré que de l'honneur dans,
mes vues.
' De l'honneur , Monfieur
?
etites de la
cruauté, de fahárbarie.Commelll.tavez vous
pu f01:1haiter de voir celle que
Vt!>US
av~7.h
inaltraitée
: