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lrr~

H

1

s

T

e

t

1t

1

fiayeur. Alfeyez-vous, mon amour,

(

e.ti

s'

adrelfant

a

moi '

&

me prenant les rnain

s ).

Comme vous trernblez , chere Henriette

!

vous voyez)

fu:

Hargrave , dans quel état

vous la mettez par une

prompte vifüe. Vous

voyez.....

. ·

Je vois, je vois, Madame,

&

j'

en fois dé_.

fefpéré•.( Tout le mondes'

efl

affis ). Raffurez- ·

vous, cheremifsByron,

& "

pardonnez-moi •

je vous en conjure.

Eh bien, Moníieur, je vous pardonne.

Si

vous étiez moins agitée, Mademoifelle; /

fi

votre füuation le permettoit, je vous dirois

ce que

j'

ai de plus

a

vous demander; je vous

fupplierois..•..

Dites, Moníieur, parlez

&

que jamais....;

Souffi:ez que je vous interrompe, Mademoi–

felle.

J'

appréhende trop ce

jama-is,

pourvous

lailfer achever.

Il

faut que vous confentiez ,

a

recevoir mes adorations. Je ne demande de

~o~re in~ulgence,

qu'autant quema conduite

a

1

avemr.....

Votre conduite, Moníieur

!

mais vous

de–

viendriez le meilleur de rous les hommes,

.qu·e je ne confenrirois jamais.....

De grace, chere mifs Byron

!

(en

m'in~

terrompant encore ).

Il

a

fuir

plaider alors

fa

paflion ,

fa

fortune ,

[es

fouffrances : le ·

méchant! fes dents néanmoins

&

fa

bouche

défigurée, m'infpiroient, par intervalles, un

:Retit fentiment de pitié.

Il

a

.fait vceu de

fe

laiífer gouverner par moi, dans tomes les

~ll:ions

j{e

fa

vie.

11

a promis

de

m'affure•