DU C-HEV.
Gll.AN-na-ss oN•
..r61
.ttances , il
{e
íl<rt
toit , m'a..zr-,il dit ., que
le
pardon qu'il av0it accordé-a l'homme dont
il
avoit été le p1us injurié dans mute
fa
vie, au–
roit quelque pouvoir fur nn creur tel que
le
mien.
U
a pris congé de nous d'mr
air
a{fez -
noble. Je ne
lui
fouhaíte aucur.i
mal,
mais
f
efpere que
je
ne le reverrai j11mais.
Cette dépecbe eíl: déja
íi
longue ,
que je
remets
a
l'ord:iinaire fuivant., la ma.tiete que
j'
ai
,pour une autre lettre.
L E T T R
E.
X X X I V.
3 de Mart.
JE
n'étois pas remife de la vifite<le
.fir
Har~
grave , loPfque
j'
fil vu par01·tre miladi
L.•..•.•
&
mifs Gra:ndilfm1 , qui ne s"arret-oient
~
m'
ont-elles dit, que pour un moment ; mais
cet agréáble mom'Cnta duré-deux beures.
Au
premiercoup-d'reil, 'mns Grandilfoc:m aremac–
s¡ué de
1'
alrération far mon vifage. Elle
m'a
demandé , elle a demandé
a
Mad. Reves ,
<l'
ou venoit ce changement ,
&
íi
e'
éroit
dou-leur oú plaifir. Je
lui
fil dit naturellement
quelle
vifüe
j'
avois res:ue ,
&
gtace
a
1'affif–
t'anc'e de ma c0ufme ,
je
luí ai
fa.ir·le récit
de
ce -qui s'ér0it palle. Les
~eu
x {reur.s nous
c;mt écoutées avec
el'
autant
plus de
plaifrr
-a