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n.

E

U

n.'y

avoit aucun moyen de s'en dé–

fendre. Cependaat je

p.'

étois pas encore

re–

'\'en

u

e

du

trouble ou

Hai'grave m'avoit

jetée. Mlfs Grandiífon a pénétré tour

d'u11

<oup le

fo

jet de cene vii'.ire ,

&

je

n'ai

rien

défavoué; mais, dans ma mauvaife humeur,

.je lui

ai

-die

que ma réponfe éroit déja faite,

&

que ntlladi

D ....

fe donnoit une peine

1ttucile. Pourquoi dome? m'a-t-elle deman·

-dé. .Savez-vous que fon .fils a douze

1'niHe

livres íl:erlings de rente ? C'eíl: ce qui

me

t-0uche peu, ai-je répondu. Je

n'y

cons;ois

J"ien) a+eUe repris;

&

c0mptanr

fur fos

doigts les noms d'Orme , tle Fenwick ,

de

Gréville, d€ rowler, de

fo:

Bar.grave-& de

·tnilord

D...

!i

j'

ai

bien compre, e'eft déja fix;

.&

l'hetirelllX

hornm'e n'efl: pas

du

rrombrei!

-que f.ignlfie

'C'e

dégout?

Prerret:-r

gai-de ,

ror-

peil

a

fes ohures.

.

Díres-moi., chere lucre ) ·ce qu'-elle

pwt

avoir entendu par-la. Je 1ne fl.atte -que les

freurs de

fl!.r

Charles Grandiífon ne me pren–

nent .poinr..

~. M~is p~ut-etie

a-t-elle parlé

fans réltexion.

Vous me croyez done de

1'

ol'gueíl?

Ai-jt

répliqaé d'un air grave

&

froid , coinme

M.

&

Mad. Reves m'ont dit ·enfoite qu'its

l'avoient obfervé.

Si

vous en avez

!

m'a-t-ell:t

-<lit, mri , ou:i , e'eíl: de l'or.gueit, o:u quek1t:te

-<;bofe de

pis.

·

·

J'e

vous demande -encere , ma chere ,

e~

"Sue ·cett'e badine a voulu dire

ici...

&:

ce

q~

J

~

voulu

diré

moi...nreine )

-car

r~-voil>

l"