1.48
H
I
s
T 0
l
n.
:t
Sir. Ha,rg.
(!)'un ton de voix
da.nslequef
i.'
ai,cru rema,rquer di¡), trnuble.
) Quoi
!
je
me
laifferois vai,n
<;re •..• Grandiff
011,
vo.u! -
defcendrez avec
m.oi. Vous defcendrez, je
lt< répete.
J'
ai de
s p.ropo.fitions
a
V0US
faire.
Vous ferez le ma:iti,:e ou de les accepter
0u
de me donner
la
fatisfaél:ion d'un homme
d'honneur ; ll)a,Ís il fuut que je
v0u~
parle
(eul au jardín.
Sjr
q,.,
Je
defc~nds
volontiers da11s la
premiere de ces deux vues. Montrez-moi le
"J
1e~in.
,
fir
Hargravfl.
l.estrois.témoins ont voulu s'y
o~p_ofoi:
;
m
ais fir
Charles leui: a
dit
qu'il devmt cente
c;,o-mplaifup<;~
a
fi.r
Hargrave ,
&
il eíl: def
...
c;.endu avec lqj. Alors ,
l'
écrivain , par
1'
ordre
ele
M. Bageohall , eíl: entré dans la chambre ,
~
s'eft placé proche de la fenchre. Bientot
il: a vu paroitre
fa
Charles
&
fü
Hargrave,
q»~ ma,i:caQien~ d~un.
pas de promenade,
maisqui s'entretenoient avec chaleur. Quel·
G.lf~
m.ots
q,u~on ~1itendoit
par inrnrvalles,
prq-qvqient que l'un faifoit
qu~lques
pro–
EDÚtions
au;icqu~lles
l'autre refufoit de con–
f~nrir.
Il1! foht arrivés proche d'un car,ré
de verdure , qui eíl: vis-a-vis de
b .
fenetre;
~
la, f¡r HaFgrave mettant tout d'un coup
1'
épée a la main , a paru ) par fes mouve–
rqents , preffer,
fü
Charles de tirer au1Ii la
fienne. Sir Charles avoit
la
main gauche fur
lq coté,
&
l'autre pendante. Il s'eíl:avancé
alQrs vers fon adverfaire, qui s'étoit mis en
¡:y:de ,
&
qui fembloit continuer fes inf-.