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!)U

CJ-IE.V.

Gl\:A.NDISSON.

"J.ff

l'érirai. Voyez-vous les marques que je :J

Dor...¡

terai jufqu'au rombeau ?

Sir C/z.

Si j'érois auffi violent ciue vous;

fu:

Hargrave , vous auriez pu 1es poner juf–

q_u'au rombeau , fans les poner long-renips.

D.éjeunons , Moníieur. Un peu

~inrervallei

vous refroidi

ra le

fang.

·Quand

j'

aurois def–

(eín

d'enrrer

da.ns

vos vues, il Lernir de

vo~·

t-re

inréret

d'

av0jr

l'

ef

prir

plus rep0fé. Vous

ne p

ouvez croire que .je

~euílle

profirer

d~

l

'a.va-

)ltage que vorre colere me donperoitíur

v-ous

.

M. ]!agen/zall.

Rien de plus noble, en

vé~

riré.

Déjeunons ,

íir

Hargrave. Vous ferez

plus maitre de vous-meine , plus propre

l.

difcuter ce point,

Otl

tour autre.

M.

Merctda.

C'eíl: auffi mon fentirnent

:•

'Vousa.vez unennemi

fon

noble, Gr Hargrave.

Sir

C/z,

Je ne fois L'elilnemi de perfonne , ,

M.

Merceda, Sir Hargrave devroit coníidérer

c¡ue dans

l'

occafion dont

il

[e

plaint , tour le

hlame tombe fur lui ,

&

que le hafard

fouJ'.

m'r.

a fait prendre pan, fans

aµ~un

¡:119tif·

qu il pui!fe me reprncher.

M.

Jordan.

Je ne doute pas,

6r

Charles;

que vous ne foyez pret a.lui faire des excufe$

~e

la part..,.•,.

Sir

~n.

Des exoufos , Monfieur

!

Non.

J"

11'

ai rien fait

a

quoi le devoir ne

m'

ait obligé

>

&

que je ne

fi.ife

~ncore

pans

Ja

meg1e

oc~a

..

fion.

Sir H4rg.

Voy

ez-v:

ous, Mell'ieurs? En..:

tendez-vo~)

Et.

y.Q.US

.w.e

4t>m;1Jlq~z .c;l~

Ja;

rfltiens;;e

!

.