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t
tt
~
r-ement l'épaule? mais qui
mena~oit
ma
vic:
)e n'ai cherché qu'a me garantir du
m~~ue
je ne voulóis pas vous. f¡úre, Telle eíl: la
vérité du fait;
'&
l'
occa!ion
~toit aífui:~menr
d.'unepaturequ1 ne laiífoit'poinra
u~1homme
d'honneur la liberté de s'y ref-ufer. Aujour–
d'hui, Moníieur·, jeviens
che~
vqus demon
propre mouvement,
&
j'y viens feul, pom;.
vous faire copnoítre que je fuis toujoµrs ·
dans la meme
q,if
pofüion, qui
eíl:
de ne vous
fai~e
aucune injure, Voila,
Meilieur~,
ce
qui
me
donne fur fir Hargrave une
fupériorit~.
qu'il peutdiqlinuer,
en
fe
conduifant comme_
je
le défire.
·
.
M.
Bag.
M;i foi, c'eíl: parler foi;t
nol>le~
rne11t,
.
M.
JorJ.an.
J'avoue,
fir
Hargrave
1
que
c;es fe
ntiments m'infpirent du
re~peél:~
·
.$ir
Harg.
Que je périífe,
íi
je lui
par~
'<1C>J111e , auili \ong-temps que je porterai
ces
qéteftables marques
!
Prenei; u11 de ces pif'1
tPl\'!tS, Moníieqr
i
ils (011t
~gale~nent
char–
gés. Vous , Meilieurs , foyez témoins
qtl\:l
~'jl m~
lqge une balle dans le cceur , je lui
p¡irdonne ma mort. Si je meurs , je me
fer'ai
"1.niré n1011 fort ; mais je veux mourir en
homme d'ho1Íneur.
·
·
~'ir
(Já.
Pour
~ourir
en homme d'hon-.
peur, Monfieur ', il faut
avoir vécu
de, .
.meme;
i~
·faµt avo4
un~
bopne
~au(e
a
~~fendre,
~ir
llarg.
(
fe levant dir
fa
chaife ).
,C'e~
,f~.!'~~
l.ne!nf,§
~U ~iqicu~es
.propc;>s.,
.V9~