i¡3s
-H
1
·s
T
·o.
1
tt
:!
M. Revel; s'efr chargé
de
tran'fcriré
ce
long mémoire , pour me donner le temps de
vous ·rendre compre
El-e
plufieurs vifites que
j'ai rec;ues. Je luí
ai
demandé
íi
la méthode
d:e ce i3agenhall, qui
fe
fait foivre ainíi d'uH
écrivain , ne luí paroiffoit pas étrange
?
n
rn'a répondu qu'elle n'étoit pas c01mnune;
rnais que dans les cas de cette ·nat'ure , m\
le meurtre peut
~tt
'e.lefruir de la téméríré,
&
donner occafio1<1
parconféquent aux
re.;
cherohes de
la
juilice , elle rnarquoit
dtt
mojm.s de
la
eh:oiture , quoiqu'avec
un
ait
~ífez
0dieux
de
prémédiration ;
&
qu'il
y
avoit beaucoup d'apparence que Bage1;ihal1
s'
étoít trouvé dans plus d'une mauvaife aven–
ture_,qui
luí
avoit fait fentir l'urilité de cette
pr.éc'!lition•
..R
-E
L
.A
T . 1 O. N.
Teudi matin
,
2.
de Mars
17•.•
~
Moi , fouffigné , fur
l'
ordre qui me
fut
tlonn~
hier aú
foít,
je me fuis tran[porté
e~
. matin, vers huir
h~ures
&
de1nie ,
a
la
mai~
fon de
fü
Hai:gravé Fóllexfen, batonnet
daits
Cavemdrsh-Sqaare, pour recueillir, en notes
-
abr~gées,
ilme. c0nver.fatfon qui devoit s'y
tentr
en~te
leélit
íit
Harg:rave Pollexfen
&
fu:
Ohar~es
G!ial'íditfon , tous deux baronnets ,
fur un différend entre leurs perfonnes , at1
fojet duqwel'
j'
ai
déja acco111pagné Jacques
iBagei¡¡\hal'l , écuyer , chez le<llít fir OJ.!iarleS' ·
Grandiífon •
doos $ailit"').aíues-Sc:iaate ,
8/.