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t~4

H

t

s-

1'

ó r

Il

~

&

s'íLn'y trowvoit

pas

fir

Charles,

cf'álleb

auillr&t

che~·

fir

Ha'rgrave ,

i)

a:

re~u

de

(rt

Charles le b1llet que je vais

tránf~dre.

V-otra

creur ne faute-t-il pas de joie , ma chere ,

apres tour ce qne je,vous ai taconté?

.A

deux lzeures

~

demie

apr~s

midi.

re

Si

vous n'étes point e1 gagé, M.

Reve~.~

,:, j'

aurail'honneur de vous aller voir al'heure

., ordinaíre dn thé. Je reproche

a

mes freurs

" des occupations qui ne leur pennettent

point d'etre de t:ette vifite. Ainú je ne

., vous réponds que de votre rres-humble

'' ferviteur ,,

CH.

GRANDISSON "·

C'efr alors que

M.

l{eves, pre!fé par let

.vives infrances de

fa

femme

&

par les mien•

nes, a daigné nous expliquer la caufe d€

fon

inquiétude.

Vers fix heures

fo-

Charles eíl: arrivé.

Ii

-étoit mis d'un gout charmant. J'ai peñfé;

au moi:nent qu'il a paru, que c'étoit le plus

·bel homme que j'euife vu de ma vie. Quel

doit &tre, ma chere Lude , le ttanfport d'une

honnéte femme, qui, faJ.1s obítacle, fans

con·

trainte ,

&

ne fuivant que fon devoír , peut

recevoir a-bras ouverrs un digne mari, quÍ

retourne presd'elleapresúne longue abfence»

<>u de quelque péril doút

il

eíl: heureufemenr

délivré

!

Oh

!

ne me dites pas , mes chers

.éini~->

que vcms

l'ain;.~z

roas:>

&

EJ:U'(;

veuf.