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frances , fes honorables _intentions , dans le
temps mémé qu'il s'eíl: flatté de la vaincre
par des mefures
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violentes ; il en appelle
a
elle-méme
>
pour ce qu'il nommela pureté
de
[a
conduite, pendant qu'elle étoit entre
fes mains;
il
offre des conditions fans bornes:
n'y a-t-il
aucun~apparenc.e
que mifs B_yron..••
Non, né>n, mterromptt mon coufin;
ab~
folnment aucune. Quoi
!
M. Reves
!
lui dit
I3agenhall ; pas mbne pour fauver la
vie
d'
w1
honnete homme?
Si
vous parlez de la
mienne, réIJondit
íir
Charles, je vous prie
d'étre la-deiTus fans inauiérude. Si vous en–
rendez le pauvre fir Hargrave, je déclare
qu'elie eíl: en sureré de ma part
>
du moi1u
par des reífentiments prémédités. Croyez–
vous, Monfieur, ajouta-t-il, en regardant M.
Reves, que mifs Byron puiífe fupporrer la vue
deíirHargrave? Jem'imaginequ'il penfe alui
de
manderpardon.Confentira-t-elle
a
recevoir
fa
vifi.te? Si jamais une femme fut adorée , interrom-'–
pit Bagenhall, c'eíl: mifs Byron, par
fir
Har–
grave. La voie méme qu'il a tentée pour en
faire
fa
fe
mme, n'en peut laiífer aucun doute.
Vous promettez, Monfieur, en s'adreífant
a
. fir
Charles , de ne pas mettre d'obíl:acle
a
fes e[pérances?
Je répere, lui dir fir Charles, comme je
vous l'ai déclaré plus d'une fois, que mifs
Byron eíl: encore fous ma défenfe. Si
fir
Har–
gi:ave eíl: difpofé
>
comme
il
le doit
>
a
lui
demander pardon; s'il
l'obrien~,
&
mb:ne
F
5