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v.

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:n.

A N

n r s s o

J:t.

11

7

telfe plus qu'eux. Si c'eíl: leur tendreffe quí

les porte

a

cette réferve , ils devroient

fonger que, dans une occalion de cette

nature, elle caafe autant

de

chagrín qu'on

en

peur craindre de la plus nette ·m1Verrure;

{ans comptei'., ma chere, que cetre dif–

crérion affeél:ée foppofe tant de force d'ef–

prit dans celui qui fait le myíl:érieux ,

&

tani:

de foiblelfe au cont'raire dans

CCUX

a

qui

Ofl

caéhe les événements

! ......

Mais je éieviens

impertinente ,

&

je ferai mieux de chercher

du

remede

a

mon impaóence, dans le repos

du fotruneil.

L E T T R E X X X 1 l.

Mifa By

RON

,

J

Mifs

·SEL.BY

.

:reudi

au foir,

2.

de Mars.

ET

d'ou croyez-vous que foient venues

les

·réferves de

M.

Reves? D'un incident qui

m'

auroit

fon

alarmée. Je luí fuis tres-obligée

de

m'

avoir épargné ce tourment , quoique

I'íncertirudem'en aitcaufé beaucoup d'autres.

Lifez

tour ce que je viens d'apprendre.

Je vous ai dit

qu~

l'étranger , qui avoic

fait demander

lir

Charles, étoitM.

Ra~enhall,

&

que

fir

Charles avoit fait appeller M. Re–

ves ,

qui étoir revenu avec des apparences

liom je .1úvois pas

é•é

fotisfaite.

C'

eíl:

de

F 4