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truit. Ce jeune feigneur a voyagé. Il eíl: con•
noiifeur en antiquités. Les ménagernents de
frr Charles l'onrJair paro1u·e avec beaucoup
d'avanr~e
fous les yeux redoutables de mifs
Grandiuon, En vérité, ma .chere, elle le
traite un peu cavalieremenr. Je lui en
ai -té~
moigné quelque chofe.
Une mifs Howe,
lui,
ai-je dit
a
l'oreille ,
pour un véritable Hick–
m11n
(.¡c.),
m'
a-e-elle répondu, mais elle pré..
tend qu'il
y
a cette diffhence : mifs Howe
,
µi'
a-e-elle dit
>
cédoit
a
i'inclination de
fa
Jllere,
&
fe
propofoit d'époufer M.
Hick~
man , lorfqu elle le malrraitoit le plus ; au
lieu que je ne fuis pas déterminée
a
prendre
lnilord G.,.•.,. Quelque joi.u:, a-r-elle ajouté,
en le' ant la main
&
d'm¡ air d'admiratión,
Í11ilord proinetde nous faire voir
fa
colleél:ion
de papillons
&
d'aurres brillanrsinfoél:es.Vou·
l!!z-vous en erre? C'e!l:-a-dire, du nombre
des
curi~ux,
ai-je répondu en fouriant.
Elle
a rougi del'équivoque : mais reprenant d'un
ton férieux, elle a dit qu'elle n'avoit jamais
yu de
~olleél:ion
d'infrél:es, fans admirer
beaucoup plus
l'
auteur de ces admirables pro–
~uétions
, que c:::etix qui paffenr leur vie
3,
l~úecueillir;
&
puis , a-r-elle ajouté avec fe¡,
~rae
es
ordin~ires,
que penfer d'un am<\nt qui
~
amufe des a1les colorées d'un papillon, lorf.
9.u'up.ebelledame faitle
papillondu~narinaQ
ioir pour
o~cuper
fon ca:ur
l}c
fes yeux?
Milord
e11:
excetlivemen.t amoureux. Qul
ft~
le feroit
pas
de mjfs Grandiífon ? Mais
jQ
~·"')
Ptl.lx.ppfppnans
~atip l'hiJtoi(~ d.~. p!a~ilf~,