!JU
Cni;~
GRAN!!Jl!'SSON•
. r.lita
crois trop fopérieure
a
lui.
Quel
partiprendre ,¡pour une femme q"1i fe voit
re
ch~r;C~lée
d'un
hQ.l'lfQ.1~
dpnt.Jes
t~lents
f
Qnt
Ítnf.étneurs aux G.ens
?
Faut-i:l qu elle renon
c;e )l.íes
avaf.ltiages naturels
?-
IL~
doit-eilei enfe–
velir uniquemenc
pour
rele.ver l'hon)me don¡:
elle
e'íl:
aimée
?
Elle n'a,
pas
fe
droit de choir
fir,
commlt ce fox¡e; elle n'a
qµe.
c.elui du
ref
us ; & pour
peu qu'elle.défire
de plaire
a
fes
,wirelll.rs,
el
k ne1'.a
pa&
t
<;>ajours. Cepen-.
da1
¡~ o.n enttmd
di.ryque
le!!
femmt:is.nedoi;
vept .p0int enc
ourager les f
ots & ks ,i:idü:n–
les ,
&
que leur pr-éférence cloit
(e
déclarer
12our
les
homi'nes fenfés, Foi;t bien; mais que
feront-elles , íi leur malheur les condamne
a
ne rencontre.r que des fots
?
Le·gÓt'lt du íié–
cle,
parmi les hommes ,, n'eft-il
f?ªS
la
pa~
rure_, les équip
aws &tout~les· rechei;che~
.du p~hoi;s.?
La
cuhu.re.
d~
l'ame fait-elle la
moita.ch:e partie
de leurétude
?.
En
un
mot
,
les h0mmes font au fond de
l'
eau·, ma chere,
&
les femmes ont alfez de
pein~
a
nager
fur
la fui:face. Milord
G........
eíl:. trop affeél:é
aans· fon ajuíl:ement. On
m'.a
dit que
.fu:
Walter
1.'
eíl:•enGore plus. Quepeuvent-ilspréi'
.ten.dre , lorfqn'ils ont
íir
Charles devant les
Jeux?'S'il
donne_
1,111
peu dans
.le
gout roo,..
deme, on voit que c'eíl: pai: complaifance
p~mr
la mode ,
&
pour éviter la íingularité.
Je
vpudrois favoir s'il ap_prouve fimplement
les
vues de milord
G.•.•
for
fa
freHr. En tout
-cas ,
je ré¡:i3ndrois
b¡en
que
e€. n'efi: pas
fon~
4,e
fo~tes
¡:a!fons..
__
_
F
.i.