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nu

CH~v. ~:rt.ANbtssoN.

n?

~atíence

T empo<te : favoir ici

la

plus belle

Clame d'Angleterre ,

&

.me voir empeché

ú

long-t~mps

de lui rendre mon hommage ,,

c'efl:

ce qn'il m'eíl: impoilible de fourenir.

Il

m'a falué d'un

air

fort

galant.

Il

a falué,

M,

&

Mad. Reves;

&

[e

tournaro.t vers mifs

Grandiífon , il

'<'!.

jur~

fur fon ame que la re.,.

-nommée

étoitau deífous de mes perfeéhons;

&

¡fautres fleitteries de e.erre narure. Ne vous

ai-je pas dit, lui a tépondu

fa

coufme) quep

vous en jugeriez cornme nous?

T

qus les compliments de

M.

Grandiífon

n~

m'ont pas infpiré plus de gout pour lui. Peut•

~tre

aurois-je eu moins d'indifférence pour ·

fes

polire_!fes, fije n'avois pas conpu

M.

Gre..–

'Ville,

M,

Fenwick,

.&

le chevalier Pollexfen.

Je m'imagine que les gens de cerre ti;.empé

fe reífemblent tous. Pauvres perfonnages

~

que vous eres loins de mon creur

?

Sir

Charles, s'adreífant alors

a

Mad. Reves

&

a

moi, nous

a

propofé de paífer dans

l'

ap–

partement. Milord

L .....

&

milord G ....•

qui

nous out entendu approcher, font venus

au

c!evant de nous avec

~le

doél:eur Barler.

Sir Charles ,

apres

nous les avoir préfentés

>

a

dit agréablement au doél:eur , que fur le

portrait qu'on luí avoit fair de mifs Byron

>

il étoit r,ret

a

parier qu'enrre cinquante

da~

mes qu il n'auroir jamais vues,

il

l'auroit

~rfünguée

tout d'un coup.

J'ai

pi·is occafior¡

de ce _compliment pour aífurer le doél:elll'

9ue

je lifois

~ans

_fa

figure

le

caraél:e~e qu_~

frr

Charl~s

m

avo1t vanté ,

/X

qll-'il

11}

a4roa