LETTRE XXXI.
Mifs BY
Ro N
,
a
Mifs SEL
BY.
Mercredi
2u
f<_>ir , r Mars.
V
o u s attendez; ,; ma cbere, le récit de ce
qui s'eíl: paífé aujourd'hui dans Saint-James–
Squarre.
Nous avons trouvé chez íir Charles Gran–
diffon , avec milord & miladi
L._
•••
le jeune
milord G.... un des adorateurs de mifs Gran–
dilfon;
mi[s
Jervi.~,
jeune·perfonne d'envi–
·ron
quatorze ans, qui eíl: fous la tutelle de fir
Charles, M. Everard Grandiífon,, & M. Bar–
let, doél:eur en théologie , dont
j'
aurai l'occa–
íion de
vous
faire plus d'une fois l'éloge.
Sir
Charles nous a conduits d'abord dans une
chambre voifine de la falle
a
manger , ou lec¡
deux freurs éroient
a
nous atcendre. Elles
nous ont recus avec les témoignages d'une
vive afft!é'rion.
Je veux, nous a dit
fir
Charles, vous faire
conno'itre la compagnie que vous aufez
a
dlner. Milord
L....
que vous connoilfez déja,
eíl: un des meilleurs hommes du monde. Je
l'honore actt titre, &jel'aimecomme le mari
de ma freur .. M. Grandi!Ton, que nous ap–
pellons familierement
E1
1
erard,
eíl: un jeune
homme plein de feu. Il eíl: difpofé
a
vou~
· 'admirer, mifs Byron. Vous ne croirez peyit--: