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CH!.V. Gtt.AND!SSON.
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.
Sir
Ch.
Nous fommes tombés infenfible–
rnent , Moníieur , fur un fujet qui n'a point
de rapport
a
nos explications. Dites
a
fu:
Hargrave,
{i.
vous n'aimez mieux laiffer cette
peine
a
l'écrivain' que je luí confeille de
prendre du temps pour s'informer de mon ca–
raétere ,-& des rn.otifs qui me
fom
refufer le
rendez-vous qu'il propofe. Dites-lui que les
infolenrs
m'
ont quelquefois irrité; rnais que
dans ces occaíions,
j'
ai toujours eu le bonheur
de les chatier' fans qu'il en ait couté la vie
a
perfonne,
&
fans m'écarter de mes príncipes
for le duel.
·
M. B.
Voila, Moníieur, unlangagemagni·
fique.
·
Sir Ch.
Oui , M. Bagenhall;
&
je ferois
fiché del'avoir tenu,íi je n'avois l'eipérance
qu'il pourra conduire
Gr
Hargrave a des.infor,
µ1ations auHi miles pow: lui que pour moi.
M. B.
Je foubaiterois que deux hommes,
dom ,j'honore la naiffance .& le caraél:ere ,
fulfem mieux eníem
ble, ou quefüHargrave
n'eur pas ranrfouffert
da.ns cette malheureufe
aventure.
SirCh
.A guoi menen.t toutes ces longueurs?
Je vous prends, .Moníieur, pour unhonnet@
homme , [ur-tout lorfque vous cherchez,
dites-vous , le Ínoyen de prévenir d'autres
fuires; c'eíl: ce qui m'a fuir prolonger un
enrretien
fort
inurile, carjerepereencore que
je
m,en tiens ama lettre.
M. B.
J'avoue, Monlienr, que votre fer- ·
·~eré
lne
ca
uf
e
del'admiration ; mais
il
n'
clt
1