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t>'l:T

CH!.V. Gtt.AND!SSON.

tll

.

Sir

Ch.

Nous fommes tombés infenfible–

rnent , Moníieur , fur un fujet qui n'a point

de rapport

a

nos explications. Dites

a

fu:

Hargrave,

{i.

vous n'aimez mieux laiffer cette

peine

a

l'écrivain' que je luí confeille de

prendre du temps pour s'informer de mon ca–

raétere ,-& des rn.otifs qui me

fom

refufer le

rendez-vous qu'il propofe. Dites-lui que les

infolenrs

m'

ont quelquefois irrité; rnais que

dans ces occaíions,

j'

ai toujours eu le bonheur

de les chatier' fans qu'il en ait couté la vie

a

perfonne,

&

fans m'écarter de mes príncipes

for le duel.

·

M. B.

Voila, Moníieur, unlangagemagni·

fique.

·

Sir Ch.

Oui , M. Bagenhall;

&

je ferois

fiché del'avoir tenu,íi je n'avois l'eipérance

qu'il pourra conduire

Gr

Hargrave a des.infor,

µ1ations auHi miles pow: lui que pour moi.

M. B.

Je foubaiterois que deux hommes,

dom ,j'honore la naiffance .& le caraél:ere ,

fulfem mieux eníem

ble, o

u quefüHargrave

n'eur pas ranrfouffert

da

.ns cette malheureufe

aventure.

SirCh

.A guoi menen.t toutes ces longueurs?

Je vous prends, .Moníieur, pour unhonnet@

homme , [ur-tout lorfque vous cherchez,

dites-vous , le Ínoyen de prévenir d'autres

fuires; c'eíl: ce qui m'a fuir prolonger un

enrretien

fort

inurile, carjerepereencore que

je

m,en tiens ama lettre.

M. B.

J'avoue, Monlienr, que votre fer- ·

·~eré

lne

ca

uf

e

del'admiration ; mais

il

n'

clt

1