nu
Cr-nv.
GRANn1ssoN.
ro?
réponfe, que celle que
j'
ai
faite
a
!ir
Hargrave
doit le 1fatisfaire ; qu'elle eíl: relle qu'il con–
vienr
a
un homrne d'honneur qui juge
a
pro–
pos d'en faite une;
&
qu'un homrne capable
de
l'
aéhon dont
fu:
Hargrave s'eíl: chargé;
m'en doitdes remerciments.Avez-vous écrit>
Monfieur?
L'Ecrivain.
Gui, Moníieur.
Sir C!z.
Ajoutez , s'il vous plalt, dans mes
propres termes; que G.r Hargrave doit
fe
croire
fort
heureux ,
G.
les amis naturels de
mi[s
Byron laitfent tomber cene affaire ;
que
je prends fur níoi néanmoins de le déli–
vrer des craintes de cene narure, pan.;e que
je me regarcte encare comme le proteéteur
de mifs Byron, pour les fuites de !'aventure
de Hounilow-hearh; que je remplirai fidéle–
ment tous les devoirs qui appartiennent
a
ce
titre ; mais que je
n~
donne ce nom qu'aux
démarches que
m~m cre~r
pe?t it;i:íhfier_
>-
&
que mon ufage n efi pomt d obeir a
d'111fo–
lenres fommauons•.. Cependant je m'apper–
crois , M. Bagenhall, que je ne fais querépéter
ce que je me fouviei1s d'avoir écri{.
M. B.
Vous eres vif, Moníieur.
M C!z.
Non, en vérité. J'explique mes
vrais fentimenrs,
&
j'en dirois moins, G.
G.t
Hargrave ne devoir voir ce qui fe paífe ici.
.
M. B.
Vous plait-il, Moníieur,de nommex
le remps
&
lelieu?
Sir C!z.
Pourguoi done, MonG.eur?
M. B.
-Pour fuire raifon
a
fu:
Hargrave.
Sir C!z.
Dires, pour lui rendre fervice;