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108.

H

I

s

T

o

I R

l!

genh

all. Un homme d'honneur n'auroit pas.

fa.ir

·naítre

l'

occafion qui vous amene chez

mo

i·.Au refi:e, envous faifanr cette demande,

j'ai

foppofé qu'il n'y a qu'un intéreífé dans

Ge différend.

"

M. B.

Pard

on, M

onfieur; mais je n'ai

pas voulu vous

faj.re

entendre

qu~il

y en eúr

deux.

Sir

C/z .

De grace, dites-moi fi vous eres

bien informé de l'enrreprife defü Hargrave,_

&

de toures fes circoníl:ances.

M. B.

Sir Hargrave m'a fait,

far\S

doute,

l:ln récit exaét. Il t1'avoit que des vues hono-

rables pour mifs Byron.

.

Sir Clz.

Il doit avoir eu de fort hautes idées

de lui-meme, s'il a cru que ce qu'il pouvoic

fe

propofer de plus avantageux pour mifs

Eyron, fllt capable de luí faire honneur.

Mais vous , M. Bagenhall, jugez-vous que

. dans cette occafion fir Hargrave ait

fait

le

rMe d'un homme d'honneur?

M.

B.-J'ai déja dit a

fir Charl

es, que je

ne

fu

is pointintéreífé al'

affair

e.Je ne prétends

point juilifier la conduite de

fir Ha

rgrave.

Sir Clz.

Vous me permettez done dem'en

rapporter

a

ma lettre; je n'ai point d'autre

réponfe

a

faire. Pardon, M. Bagenhall; mon

deífein n'eíl: point ici de manquera la civiliré

que je vous dois.

M. B.

Point d'autre réponfe,

fir

Charles?

.

Sir Clz.

(

al'écrivain) Puifque (ir Harzrave

doir lire votre écrit , marquez , Mon!ieur,

·comme je le répere; que je n'ai point d'aucre