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O~.
10,
retourner promptement en Northampton–
Shire, foit'Pom
,y
CQtmnencer un nouveau.
traité avec mil'ord..... foit pour donner des
efpérances
a
quelque ancien amant. Pauvre:
Heúiette Byron l as-tu done befoin q'un.
remede
fi
prdfant?
Et
c'eíl: ta tante Selby
qui te donne-ce confeil? Mais ne peut-on fe
promettre
q~e
fir
Charles te prendra auíli
en pitié?
Te
verra-r-ii
abymée
daqs une
fi.
forre pailion, fans t'offiir une main fecou–
rable? Ho non
!
Avec les obligations que tu
lui as, peux-tu t'attendre de lui en avoir_
encoi;e plus?
&
peut-il faire , en effet, plus
qu'il a déja fuir pour toi?
Mais qu'il me foit permis du moins d'ef–
fayer mes forces : je ne me crois pas aulli
malade qu'on paro!t fe le figurer. Je veux
courir les rifques du d!ner_de demain;
&
fi.
je
me reconnois trop foible pour continuer
de
faii;e
face, je pourrni fuivre le charitable ,
avis qu'on
m.e
donne. Je foirai , plurot que
de groiEr le nombre de ces rnalheureufes•
. femmes qui fon¡:;irent peut-etre depuis long- ·
telnps pour le
~eilleur deshc:mm,es.
~aisda.nscerte foppofit1on meme ,
e
eft-a-d1
re, fi jeprenois le partí d'aller chercher de la pro–
teétion fous vos aíles, j'efpere
qu'il
ne
me
fera
point abfolument nécelfaire d'allumer
rn~e
nouvelle ílamme pour en éreindre une
autre idée. L'amirié de monfieur Crme me
fera toujours précieufe; mais je me feos plus
éloignée que jamais de penfer
a
lui fous
Ult
.autre titre.
E
-t.