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r, v.
GRAN 1'1
s so
N.
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!iomme de qualité , comme vous favez , la.
confere
a
fa
femme. Je ne demande qu'une
bonne &ancienne nobleffe. On
fa.it,M2d2me,
que cet avantage ne m:tnqued'
aucnnc parta
la
veme;
&
íi
les conditionsd'ailleursétoient
agréées mutuellement, je vous avoue que je
ferois flattée de vorre alliance. La jcune
perfonne ayant re<;u
fon éducation fous
vos yeux, votre caraél:ere feroit un puillant
morif pour moi.
.
La beauté, le mérite
&
l'excellent ;1aturel
Je vorre 1;ieee I3yroi:i, font l'entretien
&
l'adm.iration de tout !e monde.
Il
ne fe
paífe
point un jour , ou je n'en entende parler
.avec de nouveaux éloges. Je n'ai, Madame,
.qu'une feule queíl:ion
a
vous faire anjour–
d'hui; &je vous fupplie de me r.épondre avec.
-l'ouverture qui convient
a
l'i.mportance de
l'occaúon,
&
que je erais mériter par
la
mienne, fur-toutlorfque jepromets le fecrer
avecautantde fidélirt queje le dem1nde. Les
affeél:ions de mi[s I3yron font-elles abfoln–
ment libres
?
Narre délicate!fe efl: exrréme
fo.r
ce poinr :
.c'eíl: le
feul :mquel je m'atta–
che aujo
urd'hui.
Si
votre rt:ponfe eíl: relle
que
je
la
déíi.re , nous en viendrons des deme;
~oté>
a
d'
;iutres explicarions.Unmot, lorfque
votre commo
dité vous le permettra, ne
fauroit manquer, Madame , d'obliger ínfini–
ment voq:e rrt:s-humb!e
&
rrt:s-obt:i!fanre
f~rvante.
:&f.
D ....
E
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