DU CHEV. G'R·ANDI .SS'ON.
~?
nous ,, avant que la flamme ait gagné le com–
ble
?
I,.orfque vous ferez ici, vous pourrez
donner quelque efpérance au digne Orme,
-ou vous tourner du nouveau coté q_u'on
vous propofe. Comme la plus vive fatis–
faél:ion qui put nous arriver , feroit de vous
voir heureufement mariée , nous ne fou–
haitons ríen plus ardemmenr. S'il
y
avoit
quelque apparence.... vous tu'entendez. Le
diademe , ma chere , feroit méprifable en
comparaifon.
'
Adieu, mon plus tendre amour. Je fuis
trompée,
fi
cette prudence qui voús a fait
mériter jufqu'ici tant d'applaudiífements ,.
n'efr appellée a des épreuves que vous n'avez
jamais connues. Toutea vous, avecl'affeél:ion
d'unemere,
MARIANNE SELBY.
/
L E T T R E X X VI I I.
La Comte./fe Douairiere de
D
.....
a
madamc
S
B LB
r".
:i3 de Janvier.
p
E R M E T T E
z , Madame , que fans
VOUS'
erre connueperfonnellement, je m'adreífe
a
vous pour une affaire de quelque importancé,
&
que je vous demande en meme temps
le fecret jufqu'amapremiere lectre,
al'
égard
meme de M.
Selby
&
de
la
jeune
pe~fonnc
ThmelL
E