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I R E
dont
íl
eíl: queíl:ion. Perfonnede ma
fa.mille;
fans excepter le comte de D ... mon fils, n'eft
-informé
de
mes vues,
&
n'en aura la moin–
dre connoi!fance, avant que vous les ayez
;;i.pprouvées.
.
Mon fils eíl: entré dej:mis peu dans
fa
vingt..
cÍn<:J.uieme année.
Il
y
a
peu de jeunes gens
1
dans la haut:e nopleffe,
a
qui
l'
Ol1
puiífe
attri–
buer <;le meilleures qualirés. Sa
minorit~
m'a
donné le pouvoir ' lorfqu'il eíl: entré en age,
de le rnenre en poireffion
d'
pnbien
forr
nqble
&
fort clair, qu'il n'a poim altéré depuis qu'il
vit
dans l'indépendance.
11
n'y a rien
a
lui
reprocher ponr la figure.
On
lui accorde du
favoir
&
du
jug€ment;
fa
conduite
l'a
fui(
l<Sfpeéter dans [es voyages. Vous pouvez
prendre la-de!fus routes les i?formations qui
conviennent a
.la
prudence.
Norre plus grande pa(fion , comme vous
'Pouvez vous l'imaginer, eíl:
de
le voir heu–
.reufement marié,
Il
efr fort
éloign~
d'erre un
maµvais fils. Je ne lui ai jamais reconnu que
.f{e
la rendreife
&
du refpeét pour moi.
Unfils
.iefpeétueux promet un bon mari :
il
m'
aíf
ure
·que
fon
creur efrfans ' engagement,
&
qu'il
~ura)~s
p{u§ g!·a.nds égards pour ma recom–
;nandation.
Je
cherche un partí qui
luí
c~n
víenne : mais quoiqtie rriílord ne (oit
pas
111~
diffi:renr p.our la beauté , je porte
ks
yem'
phis
loin que l'exrérieur dans une femme,
Ma
premiere vue tombe [ur la famille
il
}aquelle
~nt;
jeune per
fonn.e doit
fa
naiffunce
&
fon
~dus;~qo11,
fa
qµali.téni.e
touch~ p~u;
µJl