Previous Page  310 / 408 Next Page
Information
Show Menu
Previous Page 310 / 408 Next Page
Page Background

111

HrsTorn.~

pas moins furprenant pour

moi , q

u'avec

des fentiments

1i

nobles, vous

puiffi.ez

refufer

a

un homme d'honneur la f

atisfalbo

n qu'il

vous demande.

Sir Ch.

C'eíl:

a

ces fentitnentsmemes

qu'il

_faut attribuer mon refus,

M.

Bagenhall,

&

la difpofüion qui m'empeche

d'

en craindreles

fui

tes.

'

M. B.

Si vos aél:.ions

y

répondent, Mon–

.fieur ' comme je fuis porté

a

le croire par .

ceque

j'

ai apprisde

l'

affaired'Hounílow-heath,

par ce que j'entends,

&

par tour ce que je

vois de vous, je vous regarde comme unpro–

dige ,

&

je ferois charmé de pouvoir fervir

a

vorre réconciliarion.

Sir

e1z.

Dérrompez-vous, Moníieur. Je ne

veux point d'arnitié avec un

hom1~e

capable

de l'attentat ou j'ai furpris

Hargrave.Mais.

j'

expliquerai volontiers les condirions

aux~

quelles je pro1rlers de le voir fans aver.íion

&

fans -mépris. Les voici : qu'il rejete une

indigne entreprife for laviolencede fapaffion;

qu'il en marque duregret,

&

qu'a genoux,

s illui pla:it, til demande pardon

a

la plus aima·

-

ble de routes les

femm

es , en reconnoiífant

qu'il ne le mérite

poi.nt,

G mifsByron ala bon

del'accorder. Le

plus b

rave des hommes

peui

fléchir fans honte lege1:ioudevantune

femme,,

a:pres avoir eu je malheur de

l'

ourrager~

·

.

M . B .

Jufre ciel

!

fouhaitez-vous,

fo:

Char–

les , que cela foit écrit

?

Sir

C/1.Jel'exige meme;

&

G

fir

Hargrave

a dans

l'

ame quelque 'étincelle du

véripble