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1-4

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R E

Si cet odieµx Ha1'grave pouvoit forcir

·une fois de

nía

·tete _, je fatisrerois ma, eurio–

Íltéfot

mílle

€"hofé's <¡iue je fuis ?mpatiente

de

·favoír.

·

'

. '

'Mifa Jervín s'eíl: conduite avec beaucoup

·ne difcrétion. Avec quel plaiíir paroñ-elle

f

ufpendue

a

chaque mot qui

fon

des levres

'de

fon

tuteur

1

.

Ai;naole fille

!

Que je

la

j:Jlaindrois

~

Ú

fa

reconnoiffiince }Jour un tel

bienfaiteur la c011duifoit ·, infeniiblemerit

a

l'amóur

!

Réelleíñ'ent j'ai pitié de tous ceux

qui aiment fans ef.'pérance. N .e {ecouez

pas

la

tete, mon cher onde. N'ai-je pas-toujours

parlé avec compaffion de M. Orme

&

de

·M.

Fouler

1

Vous en eres témoín , ' chere

Lucie.

i

-

.

·

.

Mi[s

Jervin eíl: uoujours prere

a

four>ire

~

'mais ce n'eft pas ur\

fourir~

vague &puérile;

011

y

remarque des.

aiílli~~ións

&

de

l'in–

telligence. Au' fond , elle pade peu;

l

0n

n~

clit rien qu'elle

n~écoute

avec attention: d'ou

)e conclus qu'elle a beaucoup de prudence

pour

fon

age.

.

Je croyois avoír épuifé

l'

arride des hom–

·mes ; mais il me refi:é quelque chofe

a

dire

'de M. Grandiífon, qwe je n'ai fait que nom·

.x:ner, quoiqu'a fes propres yeux il:ne

ffü

ras

aífurément le dernier de nos convives.

e

ell:

un homme de taille moyenne , qui n'a den

·de beau pour moi, mais qui approche

í1ífe~

, du bel homme, pout mériter qu'on lui par–

donne d'avoir cette opinion de_lur , for-tout

lorfque , fpivant le témoignage

de

fes

-pro':..