1'1.0
H
I
'!
T
tJ
J
ll
'!
bre ,.qui entralne- la condamnation de quatt-=
tité de feml'lles au célibat, i1e fora qu'aug–
menrer de jour en jour.
·
Encore
un
mot fur
M.
'Grandiffm1. "Sort
~g.e
eft
cl'environ treme
a11s : 011
luí •ttttibue
~
gloire d'avoir ruiné Jeux ou n·ois femmes.
Sir Charles
l'~
rappellé depuis peu de mois
a
~uelques
fentimentsde home, contre lefquels
i1
paroiffoit enduYci.
On
clloÍt qu'il a dimi11ué
fa
fo11tune, qui
ktoit
fort
coníidérable,
13ar
les défordres de
fa
vie
&
par
fa
pallion peur
le jeu. Sir Charles
n'.a pas
trouvé cle plos
silr
rnoye» pour le guérir, que de l'engGger fou–
ve.nta
lui tenir compagnie.
Il
commit
-aífu21
Je prix de cette faveur ; car il avoue •quel–
-quefois
a
mifs Granditfen, qu'il l'aime
&
l¡u'il le
~raint
prefqúe également.
11
ajoute
meme qu'il a0naeroit: le monde emier, s'il
. en
.étoit le ma1tre, pour reifembler ¡i>atfaite""
ment
a
íit
Charles.
Mais ileft temps de finirune lettre-qui de–
viemfroit n·op longue ' f'ans en erre plus en–
m1yeufe,
fi
j
entrois dans le dér
ail de tou~leurs difcours.D'ailleurs, le filence
queM.Re–ves s ..obíl:ine
a
garder for la vi
fite de ceBaf;enha:ll, ne me laiffe pas
l'
efprit tranquille.
Je
fois
d~autant
plus inquiette, qu-'il me le
paro1t beaocoup lui-meme. Il attend fans
doute quelque nou.velle explication , áont iI
efpere du foulagement, mais commentpuis–
je
erre affurée (!]_u'elle n'augmentera pas
fa
peine? Je ne
<;omprends pas pourquoi
no~
amis nous.
lail
f e.ntig-oorei: ce ·ql'l-i n'OUS
in~é.~