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13?-

HISTOIRI!

v01e, qu'il a

~'autres

motifs que

la

crainte

pour le refufer. Je veux metrre

l~honneur

de fir Hargrave

a

l'épreuve. Vous luí direz,

Monfieur,que je porrerai

fon

loin la patience)

mais que , fUr-il un prince , je ne fouffi:e

pas l'infulre.

M. Bagenhall encore plus furpris, lui

demanda s'il étoit réfolu en effet... Oui, Mon–

fieur , interrompit

fir

Charles. Je vois que

pour fatisfaire

fir

Hargrave

, i

l faut une

démarche extraordinaire;

&

ti.je

n'apprends

P.Oint aujourd'hui qu'il s'y oppofe , je ferai

demain chez luí

a

dix heures du matin.

Ce récit, ma chere , me fait encore trem–

bler en l'écrivant.

Sir Charles

<lit

alors

a

M. Reves : vous me

perdrez, Monlieur,

s'il

vous

éch~pe

un mor

de tout ce que vous avez entendu, meme

avecMad. Reves. Moncoufin demanda qu'il

luí fUt du moins permis de l'accompagner

chez

fu:

Hargrave. Non, répondit

fir

Charles.

Vous prévoyez done du danger

J

reprit

M. Reves.

~n,

non, répliqua mon glorieux

libérateur: Je dis qu'il faur faire quelque

chofe en faveur de

íir

Hargrave. 11

fo

croit

mépri(é. Je veux lui donner la fatisfaétion

de condure

a

fon avantage, que je n'

ai

poi

ne

de mépris pour un homme avec

lequ~I

fen

ufe avec cette confiance. Allez rejoindre la

compagnie, M. Reves,

&

que perfonne ne

fach.e le fu jet de votre abfence

&

delamienne.

Je vous

ai

dit, ma chere, quelle différence

j'avois remarquée fur le vifage de l'un

&

de