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J

2.8

H

f

s

T .

o

I R

!

M. Reves meme que je tlens d'abord tout

e~

qui s'efl: paífé fous fes

yémc.

'

Sir

Charles le p.rit

un

peu al'écarr. Ce mal–

heureux hcmme , je parle de

fir

Ha.rgrave,

luí dit-il, femble chercher

un

prétexte pour

digérer un rrairément dont il fe

~roít

trop hu–

n;ilié :

il

faut accorder quelque chofe

a

fa

.fituaticn. Vous allez encendre ce,qu'il me fait

propcfer; mais que.perfonne, je vous

prie~

n'en foit

~nforrné

juíqu'au dénouement: ce

jour eíl:confacréau plaifir. Vous,

M.

Revés,

.q"Qi

eres déja dans le fec¡.-et, vous pouvei;

répondre ici pour votre chere c¡oufine.

.

Il

le conduifir v

ers M

.

Bagenhall.

Voila

M.

Heves,

dh-il

al'

aut.re

;

&

fe tournant vers

mon cou!in; Mon!

ieur ,c

ontinua-t-il, entre

_elufieurs demandes auxquelles je

ne

p~is

con–

íenrir , mais dont

il

efl: inurile

de

vous-infor–

mer , parce qu'elles

1

ne regardent que pioi,

fir

Hargrave infifl:e fur la liberté

de

voir mifs

BY.ron:Jl

.dp~rn.~

p9qr,raifon , qu'elle efl:

ab-

-folument libre. L'eíl:-elle, Moníieur?

. Mon coufm répondit qu'ilofoit a'fforerque

je l'étois;

&

M.

Baeenhall

ayant nonuné,

M,

Greville,

M.

Orme.,

&

quelques autres, il

protefl:a non-feulement que je n'avois jamais

preté

J'

Greille

a

h~Ul'S

oftres, mais que rien

JJé

m'

étoit plus a charge que leurs

importunités~

, Il

n'eíl: pas furprenant , reprit civilemenc

fir

Charles , que mifs Byron ait un grand

nombre

d'

admirateurs; mais

le

chevalier

Po1-

lexfen batit des efpera.nces fur la cerrirude

fle

fa

liberté;.¡,¡

{ajtplaid~r_p.0ur

lui

fe~

fouf7

..

-