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1!
aux condi:t
ionsqu.'il déíir.e , je me
perfu~
-
derai
que
mi.íSBy:r011 &
Iui
peuvem
erre:
rius
heure
ux enfembleque
je
ne mel'imagine:
a
préfemt~
.Je·ne íouhaire point
CI'
etre regar
dé.
fous
un
auitre titre que celui
d.u
proteéteur
de
mi[s
Byron
contre·
la
violence;
&
je ferai
gl~e
de l'etre auili long-temps qu'elle
ne–
refufera point mes
f
ervi(¡;es Mais
l'
occafion
dciit etre iroprévue; ce,doit ecre au défaut
du íiecom;s :naturel des lbix. Je ne m'enga"!
geraij.amais-,pom: la fatisfuétion d'un advel."–
íaj.re,-ni pour
la
m.ienne., d.ans:une vengeance.
froide
&
préméditée.
Mais, Monúeur, répliqua
BagenhalI~
wn•
fdérez que
fu-
Hargráve eíl: makraité dans:
cette occauon; vous lrui refufez la fatisfaétion
qu'ildemande,
&
vous·ne fongez point que;
fuivant
les
loix
de
l'bonneur , 0n
m'a
point:
droit
a
des trai.tements ho11oranles lorfqu'on.
¡efufe......
Eh L de
qmi fou1.t-elles ,.- intenmnpit
vive~
~nenr
fo:
Charles ,_ ces loix auxquelles vous
<lonnez le nom de loix d honneur? Je n'en..
c:onnois point
d'
autres que oelles de Dieu
&.
celles de mon pays. Mais
~·
pour terminer
tle vaines explications, <lites
a
fo:
Har~ave
que, qudqble
~en
de f.onds qu'mi homme
a:honneur ait
ª·
faire fur celui
qui
a pu
1:rnkraiter m1e femme· funs
défenfe,
j'irai
·clemain '· s'il
y
conícmt, déjet1ner
avec lui
-Oians fa propre maifon. Je veux
bien
n'ar–
:uil'me
r qu'á fa violence de
fa
paaion l'in:
~e
o.mrage.do.ntil
s."efr
rendu coupable.
Jt;i