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ivanoui!fement vous eíl:-il
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diffi.cile? L'air de
fon vi
fa
ge répondoit
a
fes indignes reproches.
J'ui!fances du
ciel,
m'écriai-je , accordez-moi
vocre proteébon
!
Il
ne m'adrelfa plus que
ces trois mots : votre forr eíl: décidé, Made–
moifelle;
&
fur
le champ il appella nne fer–
_vante, qui entra au{Iitot avec un capuchon
a
la main. Ellelui dit al'oreille quelques mots
dont il parut farisfait. Lorfqu'elle fut fortie,
il s'approcha de moi avec le capuchon. Je
trelfaillis, je tremblai;
&
me fentant prete
a
comber' je faiíis le dos d'une chaife pour
~e
foutenl.r. Votre fort eíl: décidé , répéta–
t-il d'un ton
fenlj~.
Mettez cette coiffe, met–
tez- la ;
&
les évanouilfements vie11dront
quand vous les jugerez nécelfaires.
Au nom de Dieu
!
fir
Hargrave.
Au nom de Dieu
!
mifs Byron. Je connois
des lieux plus fUrs que celui-ci , ou j'aurai
peut-etre un _peu plus de pouvoir fur vous.
Encore tme fois , mettez cette coiffe. Votre
complaifance peut tourner encore
a
v9tre
avantage.
J'élevai la voix pour appeller les femmes.
I1
me répondit qu'elles avoient difparu ;
&
lui-meme appella deux de fes gens, qui accou•
rurenr
a
fon ordre. Cette vue augmentant
mes fi:ayeurs, je criai encere, autii haut que
ma
foiblelfe me le permetroic; mais, ne pou·
vant me fouvenir du nom des femmes, je ne
prononcai que madame.... mifs.... avec
trop
peu de torce pour me faire encendre de bien
lo¡p, Cependant
l'
aínée
des
flU~s
fue
a,men~e