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llfl'

.

D.U

CHEY.

GRAN .DI

s

SON.

H

\louceur qu'il me feroit poi1ible , dans

la

crainte de m'attirer d'autres infolres.

Hé bien , Monfieur , avez-vous porté la

violence aífez loin , con.ere une fille qui lle

vous a fait

&

quin'a jamais

f

enfé

a

vous faire

au~un

mal

?

.J

~ n~'

arretai.

I

ne me répondit

pomt.

Quels tourments n'avez-vous ¡:>as caufés

a

M.

&

Mad. Reves? mon creur en faigne pour

eux. Je m'arretai encore.

Il

demeura dans le

meme filence.

Je me .Barre , Moníieur , que vous avez

quelque regret des peines que vous m'avez.

fait fouffrir,

&

de celles que vous avez cau–

fées

a

mes amis. Je me flatte, Monfieur...

Il m'inrerrompit par un affreux jurement.

Je fermai la bouche, dans l'idée qu'il conti–

nueroit de parler; mais il n'ajoura ríen_.

Il

changea

f

eulement de poíl:ure,

&

ce fue pour

reprendre auffitot la meme.

Les femmes de cette maifon , Monfieur,

paroiifem d'honnetes gens. Je me flatte que

von:e deífein n'a été que de m'eftrayer. M'a–

voir amenée dans un lieu honorable, e'eíl:une

preuve qu'il n'eíl: rien entré cLins vos vues..•

Il

Il).'ínterrompit encore par un violentfou–

Eir. Je crus qu'il m'alloit répondre... mais il

fit

une grimace '

il

f

ecoua la rece '

&

ce

fut

pour la baiífer encore fur

fa

main.

Je vous pardonne, Moníieur, rout ce que

vous m'avez fait fouffrir. Mes amis me tou–

chent beaucoup plus..• A la pointe du jour,