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PIE

dépiecé en reconíolicÍant les poni.ons alicnécs •

c'ctl -:i - dirc , en les

réuniíl3.nt

la panie tef–

tante.

On die en termes de'Pcimurc ,

Vn t1tb1e4U reJuit

petitpil ,

lo~fque

pour·C:n

copicr~

plus grand ,

~;s ef~iJ:'~t~~J~º~~e~~~~sa

~fr~;~: fu:r1·~ri~~=

nal.

··

..J.

i'h::~~e;;ii~JtJ~c~~n

t~ ~~~!n"f::u::rcfr~éd~~

lieur.. On s'en ferc

mcforcr les Cuperficics

les

íolidts.

donnc ce il\Cme nom de

P1t»

un ccr–

tain [nílrumcnr en forme de pcci'ce regle , qui a. Ja

longucur Cie ceetc mefute ,

Cur

lequel

fes l!artics

fom gravées. Le

pié

des andcns Romains

écoic-di–

vllé

p:ilmcs, onces , minutes

doigts ,

avoic quatte palmes, douzc pmtccs

fcizc d0,igts.

On appellc

Pi't'de Roi,

Une mcfure de douze'pou–

ces , .cbaqtieJ¡aucc

~vifé

d~uzc

ligncs ,

cha-

J~~

:g~ef~ ~~¡ P:ft1~~r~é ~

~ ~:e-.f~:~:~u,r ~~~

9H11rr(ou[Hperftcid,

pour dire, Cclui qui ayant

douzc pouccs par chacun de

fes

cOtés , c:n contient

cc:nt quarantc: -quatre fuperficicls,

PU cube

cubique,

cc:lui qui conric:nt mil Íc:pr cens vingc-huit

pouccs cubes ou folidc:s.

Pié.

Terme de PoClie Greque

Latine, Mcfure

de: quelques fyllabes , íclon lefquellcs les vers fcm–

blem marcher decadence. Le vers hex::imeu:e en

- compofé de

fix

piés.

en a de dcux .íyllabes

commc le fpondée, &l'iambe, & de uoisfyllabes,

commeleDaél:yle& l'Anapctl:e.

On ap.pclle

Pitde

mHr.,

La parrieinfcrieure d'un

deu:1~·hiljt1C~1~~~~~;;u~cd:i:c

c·;ª¡c~~[~;~~~Í:~~~:

dit

d'une cfpece de gros baluíl:re, qui porte une

coupe ou un baffin de fontaine. C'eíl: quclquc:fois

un piedeílal rond ou

pans, avc:c des coníoles ou

desfigures.

Pitd'alouetu.

Sone de fleuc dont la tige eíl dé-

~i~Jut ~~~~ll~~v:~~

c.dl

~u;e~i=

cÍe ~u?i~~rs

~~~~

leurs, de violencs, de gris-de-lin , de rouges, de

blanchcs , de bleues ,

d'autrcs qui

ÍOnt

pana–

chées.

s'en

ícn

pour embellir les placebandcs

desjardins.

Pi~de

biche.Barrc de fer avec laquelle onferme&

a~plllc

les portes. Un des bouts de cene barre

doit etre attaché par un crampon danslemur. L'au–

:re bout tfi: en forme de crochet.

011

l'avance

ou recule dans les dencs d'une cremiliere , fur un

guichet de portecochere, ce qui empCche qu'il ne

foitforcé.

Pir

de chtvre.

Barre de fer courbée

refendue

par le bout, qui eíl: une

ne de lcvier fervand. re–

muerdes pierres

aucres fardeaux. On ::appelh: auíli

Piédechevre,

Unecroifiémepiecc de bois qu'on

ajolice

une chevre , pour lui fervir de jambe,

:~~~~u~~nf~r~~=~~l';F!~bed~º;~~e

¡;

~~:!~r~r ~~~

Je chevre,

eíl:encorc une mamere d'affembler dom

~e;;0~:?1~~~;~sefle~~r;e~:t,p~~~e~~°,;¡;~rJeescE!:'r~

On die auffi

Pit

chevre,

en parlant dºune piecc

qui ferc

fairc

d.érente des.horloges. C'ell le

compoíé de deux pcms fcrs mob1\es en charmeres ,

done l'un fe peut mouvoird'un c&té,

non pas

de l'autre.

Pi(

de cbrvre

chés les lmpnmeurs , efl:

l'outil dom ils fe fervenc quand il faut démomer les

bailes.

Pié'

de Grifon.

Infi:rument de Chirurgie.

efi: de

feravecdeuxcrocbecs, &les Chirurgiens s"en fer...

PIE

vent danS les accouchcmcns difficilcs ,

tircr la

~~~cre~e

l'enfanc demcuré dms le vcmrc: de

la.

Pit'

lievré

die

d'hn vrai

pié

de licvre 'done

les Ecrivains fe fervenr

frotrer, &

liífcr leur pa–

picr.

a un ·01feau

qu'~n

appclle

Piéáe lievre

. a

cauíe de fes piés qu'il a velus comme un lievre:

C'efi:auffi une hcrbC que Diofcoride die qui croit

~~:~~ l~~~~é:~J~r~~o~c:~c~:~~e~::u~Q~ºe~íl:v~~

on cíl: hors de

fievre , elle fair le mCme effer.

Macthiole dltqne Diofcol"ide a palíé fur cene her–

. he

legeremcm, qu'il

prefquc impoffiblc de

·~a:vridrh;rcb~u~uf'~!id~:r

;a!!~l:s\~~:~r~~~~~~

pelle

c:n Latin

Pes lepor;nu; ouLAgopHJ

du Grec

>,., ...

,,1nr111,

faic de ,;• .,-h, Lievre •

de.;, , Pié. On

appcllc encoie

Pil"de lievre

ne ccrtaine efpcce

~;et.rcfllcdonc

les tCtcs ont

figure

Cl'un

Pi~

de lie..

Pi( de /ion.

Pccite herbe qui a fes fcuilles étroi·

tes, vc:lucs

longucs de trois ou quarre doigts.

Elle n'en a que deux de haureur. A la cime de fes

· ciges

fom

de pcciccs tCtcs qui femblent trouées. Sa

graine

couvene de boutre, qu'on

fouvcnc

de. la peine

trouver parmi fon cocon. Ses Reurs

font noiricres.

(a ·

racine ell mince

pccicc.

Cclles de fes feuilles qui font le plus prCs de

ra–

cine

fonc

plus coronnés que les autrcs. On l'appel·

le en

Larin

Pes leonis

en Grec

>.unurUm,

";"" , Lion ,

,,;r ,

Pié.

y a un amre

Pié

de /ion,

qui

fes feuilles cornme la mauve , mais

plusdures

plus rc:tirées.

Elle

efi: companic en an–

glcs qui font dcmclés tout

l'emour, en foneque

feuille étant écendue. a la forme d'une écoilc,

ce quila fairappeller

Stella& Stdlaria.

Sa cigc

di:

menue ,

liaucc de demi coudée. Plufieurs pe–

tits rameaux qui en fonent , om

la cime de pe–

rites Acurs r.iles ,

faites en forme d'étoilcs ::unú

que fes fcmlles. Sa racine

dl:

detl.a longueur d'un

palme ,

l:i.

~ro1feuc

d'un doigc. Cene plante

reftreinr

confohde , déterge,

incraOC le fong,

eíl: bonne pour arrC:tc:r tout 8ux de Íang immode·

ré. Elle

auffi vulneraire, foit que l'on s'en fer–

ve imerieurcmcnt,pu euerieuremenc.

Je pigeon.

Matrhiole ne doucc point que ce

qu'on appelle

Pit'de

pigeon,

ne foit la fcconde ·ef–

pece de Geranium, décrice par Diofcoride. Cette

h~~~~:rªf.:~bit~~~:f~u~sa~;~~~sd~

res

t~a!~

ches elle proSuic de pctirs rc::jenoiis • d'oll foncnt

de perites tC:ccs , en forme de tCtes de grne avec

bec. Ses feuilles fonc fon femblablcs

celles de

Mauve. Ce

pié

de pigeon . ou fcconde

~fpece

Geranium, n'eíl:d'aucun ufage en Medecme.

p¡EDEST

AL.

m. Corps quarré qui [oUriCmuneco–

lomnc ,

qui lui fen de: fouballemem.

a fa

baíe

comiche,

dl:

different fclon les 'cinq

ordres. Le Piedeíl:al Toícan n'a qu'une Plimhe pour

bafe .

un talon cauronné pourcorniche , c'cfl ·

~es!~s/&1!':e~ree~ºd1:h;ucte~~~~eu,n ~f~~snleª\

:d~~

~~;c~ib~~~

dic

~~~'ce~~en~~: r~~~~e~:~,¡~~~q~;~

timens donne lieu de croire qu'i\

n'y

avoit poinc

de bafe dans cec Ordre. Le Piedeíl:al Ionique a

deux diametres de haut

dcux riers ou enviren.

LeCorimhiena la quatriéme parcie de la colomne.

eíl: diviíé en huic parcies, dont l'une doir erre pour

Ja cymaife, dcmi: aucres pour la bafe ,

les

au ..

tres pour le dé. Dans l'Ordre Compofire le Piedef–

tal doit •voir de hautCU[ la croifiéme partiede la co-

lomne.