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PIE

un cndroit des momagncs de

PiurAflmE'IA,

dor\t

dcílüs

émic

de mubre crCs-blanc ,

tcl

que

cclui

J:;o

e;t~'X~c !n~~b~e':~1~d~·~u;~~ºd~~:u~~

ctlc~~c~º,~,~~~~~~ª~~P!~u~c~~,:~r:r;s~~~ ~=

;~o;rc;~~:I'iirt

r~~C~~~{e

',es

a[º~~:red~c~~:t~:

les cabincrs de

pieccs.de

rapport qui en ont écé

fa.irs, on s'cíl- fcrvi de ces mCmes pierres pour faire

des rablcaux qui p:aroi<rcnt Ctrc de peum1rc:. MC–

me a6n d'e1 augmcnter cncorc la bc:mcé \ on

mClc du l

1pis ,

l'ag;uhc

de toures íoncs de

picrrcs les plus précicufes. Pour fam: ces fonc:s

d'ouvr

1ges

on fcie par fclllllcs le morceau d'ag:uhe

de lapis

d'aucrc p1crrc préc1cuíc qu'on vcuc <:m–

tloyer. On l'anachc fur l'érabli,

aprcsquo1on

p~~~r:}~~~a~t~~l~eo!c~~~~~ l?é~~~r1fJ~;r::~C:v!~

de l'eau

:i.

mcfure qu·on travatlle. i\.ux cOrés de la

I:ierre

ÍOnt

deux chcvtlles de fer , contre lcfqucl-

¿~ºfe~f1)~~~:~c1~~u~~u: ~er;~n;c!:~c~;~~~~;;

quclqucs6gures po.lrfrre

rapp->rtée~

dans un ou–

vrage . on les ferre dans un érau d

e bo1

avec

une perite fcie appellée

A rchtt

fo.ne

Íc:Ulemenc

d'un

fil

de la.iron, avec de l'eau

l'émcril que

~~~r!J~su~~ ~;ic% c~:t1·!~~'\:pfi~u~ fd~~~~ ~

Fclibicn qui en p.:irlc ainfi. f:ilc connolrrc que les

Ancicns rr:ivaillo1cnc auffi de pieccs de rapporr. U

die qu'1l y avoic aucrefois

Rome. :m Porcu:iuc de

Pierre , une cable de porphire forr anctcnne ,

oii éroienr cntaillécs d'autres pierres fines qui re-

f~~ef~fri~ner d,r:fc~:~;

:r,;:b;:se,

P~~Pi~~u~~~uf

mene travaillé daos le p:wé du.lieu

qu'il dé

crir,

qu'il fcaroi{f"oir Crre un vcritable 01feau bUvamda.ns

;~e~eq,u'f~

;~~eX·'~~c1~~r;~T~~·tr~~~ibrodé,

long d'un riers ou cnviron , que les Damcs arra–

chcnt devane elles íur lcurs corps de JUppe lorí–

qu'clles fonr en manteau.

Puu,

en rerme;de Relieur, eR:: un morcuu de

marroquin qu'ils colem fur le dos d'un livre, afin

d'y mcure le dcre que l'aureur a donné

fon ou–

v:ragc,

parmi les C?rdonniers

Pttce

cR::

.mor–

ccau de cutr large qui couvre le _cou du pie •.

qu'ils coufenr au bouc de l'empe1gne d_u

foulte~.

Pieu,

en termes de jeu d'échecs. fe d1r du Ro1,

de la Dame , des Foux , des Chevaliers

des

Roes quel'on faicmarcher parl'échiquier.

On appclle

Puct

en ccrmes de P2lais

de Pra.–

cique. cout P;ip1cr écdt qu'on produic daos un Pro..

ces.

On appellc, en rcrmcs de Blafon ,

Piecu ho110-

b:!~~1: 1~cc~e~~~~ •

~/:~:~

~ l~ªf:;c¿i¡~ Faª

bo~~

dul'e

l"orle,

quoi le Pere Mcneíl:rier ajoUte le

chcfpal, lachampagne, le

pai~le,

le_qnuricr, le

giron

l'écurfon. Tourc:s ces pu:ces ncnncnt dans

lcur juíle largcur la rro1úéme parrie de l'écu.

l'ex–

ception du quarrier

du giron, qui n·en occupenc

que

qua1riéme.

On d1t en termes de Charfc, qu'Vn

oife$1~,

qu'-

11nchu,, font toutt d'u.,e p1ece,

pour d1re , qu'Ils

fonr roucde la mCme robe , ou de la mCmc cou·

lcur.

Les p3ciJliers appellenc

Piecede four,

Une rour–

te , une , ou quelqu'aucre fone de pacifrcrie un

peu confidcrable.

P1ece,

fe dit auffi des ouvrages d'cíprir , com..

me de PoC:úe ,

des Compofitions de Mufique

PIE

215

~:~:.le

luth , Je thuorbe , le clavellin, la gui-

p:ulanc d'efpccesd':ugent en Efp:igne

aux

~i!C:

u~~/~t:~r~(' ~f~r;_A¿-:~er~~:::~c;~~t

monnoie de France. L'Ecnruré famce vcrs l'an

ro. du mon,d.e

(air

"!eJil.uon

mi le piece.s

argent donne,cs

Afm1._hai:n par AbimclccJC , pour

avo1r un vo1lc

Saraqui

couvrir le vif.age.

l>IEO.

PArtie JH corp1 de l'1CnimalqH1 eflfoi11te

fextrt",,,itt' de/11 fA17be,

quj l11i

fon

Afo[o1iu-

111r

m~rchu·.

AcADr

fl\.. Dans le cheval les

piés fonr les excrémités de

Ces

jambes dcpuis la

couronne juíqu'au bas

la corne.

~elques

uns

onc appcllé

MAr111 ,

lc:s ptésde devane. Le droit

nomme

Le p1t'hors J11 mo11101r de det1A1ft.

Le zau–

che s'appelle ind1fferemmenr

Le pié' de dttJAnt du

'"ontoir, lt

pil

de l't'trier,

pil dt

IA main de

/A.

briJe.

Ledroit des dcux piés de dernc[e cíl:

;ip–

pellé

pit'

hor1 d11 mo11to1r dt dtrriere

E,aU–

chc ,

Lepil

montotrde derriert.

Dans le

nli

qu'il

des Compagnies de Lanciers , on .p–

fellott le

pté

droit de dcrriere ,

Le p1t'de IA

Larct,

cauíe que quand la lance écoic

l'arrCc ,

fon

tron~on

répondoit :i ce pié-l:i. On

dit

d'un chcval

;:~~¡:::fd~á~:!':,c~(~;,;¡~:·~1Í~·~íl:a ~~~o~ea~:;

~~;,t~r;:~~~e~ ;~;,~e·~e fi'~t~:~

~~·~r ~~~;

~i~~é"~~~i~¡~o:h

~rf!;;:~sp~~~c:

~~:¡~ºf;;r:~2~:

~~;r:~~~i~~eJ¡~éqcu~~~

;h~v~~ .e;"~~~~:eu7. ;~~;

dirc, 9uc Le fabot s'érant détaché par des javars

cncorncs , ou par quclqu'aucre inlirmi\é , une nou–

vcllc carne lui eíl revenue. Un chcv:il qui a faic

té

::~fP~;c~J)~P~~~P;fu~~·a~c::d~~c

?aº

;~:n~ :~

ufée.

On <lit qu

chevAI ttpeudtpil,qn'II A1'1Ali'VAir

~!:ft :.~u~~~r:e' q~~! ªc~rccu.~~r~~r~; d~rc~:~~~:~

qu'Vn

che1111l

piE

át'r1bl ,

pour dire , que fau–

ce de come il ne peuc Crre ferré que fon diffid–

Jemenr; ce qui arrive quand pou.r avoir marché dé-

~c:~! ~~lc~~:a~i

é ~~~~o~~~g¡~:Xª~!t~I~ ~;~::~J

dans le milieu du Cabru..

qui a toute la forme du

pié. On dit

GAloperf11r le bonpil, rmuttrt un

ch1-

1JAI far le bonp1E,

pour dire , Le &ire allcr uni–

menr,

Íur les mcrocs piés qu'il a commcocé de

partir.

Pird MArln,

Tcrme de mer. Oh appelJe ainfi

~e",;~~dc~~~ri;;~¡~~/\~~o~J~ ~~:eVa1~~!.e~~

fe die auffi d'un hommc, ou qui aime

1::1.

Marine, ou

j,~~~~;,,~ ,bi1~

J::c~~ff:,~~-1c~~º~r~~~

~/~~1:;~

cie qui paroic fous

huagc.

On appcllc , en termes de Blaíon ,

PilJe

tEclit

poincc ou parcie infcricure de l'Ecu ;

on dir

~uur'f~:{'u;:~;~s~,;~~Ji1u~c~~~~¡(~~~~~ir~~~

:~urr;~:h:~1~~,o~

Jrrc

~~J'}=NP'}~e~,~u:~;!~~s~~

fi~h~~l~:::tr~~E,

Celui qui cft poinm

proprc

Ondie , en rem1es deJuriír.rudcncc,

pil/aijit

~j~'~;rfe

qu:e1¡~~, p~~~l~·,::•;;_:~~~!ªq~~~~r~e:!~

Dtpilde fief.

fe died'un fiefqut a bé démcmbrc!.

Lc.s fureiieriíles d fcnr

P,E

fief

pour

De–

pit

dt'mrmbrtmtn

•

On pcut ritablfr uu

fi;f