,.
( 3
50 )
d
!
bl
1,. '
11
1 1·· '
c.
e
a no
e ~se
; mteret
pe~sonne
,
rnt~r " .
qui
cherche
a
accroitre ses
forces et
a
se donner
des
auxiliaires, cherche
en
vain
ú
prouver que
des propriétés
si différentes ont la meme
or~ -gjne et doivent craindre le meme sort. La
noblesse ne sera point effrayée par ces vaines
in.enaces, et
tout intétet
personnel disparoitra
eevant
la
supreme
loi
de
l'état ,,.
~
.
'' 11
ne
teste done plus ,
Mess1eur9 ,
qu'~
exam.iner ce que
c;est
que
le dotnaÍne
de la
c.01uonne' et
a
le
compater avec les
biens
de
l'église. Ce domaine est
une grande propriété
nationale.
Les
rois
n'en sont
ni
les
maitrrs;
ni
les
possºesseurs ; n.i
meme
les détenteurs ;
c"est 1.e
gouvern@ment
qui_!'administre
au
nom
de la.
nat~on
;
s~s
pi-odtiits sont
de~tinés
att
5:ervice
public ;
ils- remplél;cent
une
pattie des
im·pots;
et l'état,
sous
ce rapport, en a
tout•
a-fa~fois l~
prnpriété
et la
jouissance )).
'' .Or, ne
retrou"
Ve-t.w.onpas évidemmerit
lct
1
'
men.nte
origine'
la
merne
destirtation
/)
les
memes
,~:f:fats
.dans
les possessions de l;église
?
Ses
biens ,.
comme
le domaine de · la
couronne ,–
sont une grande
res·so.uree nationale. Les ec•
'- désiastiques n''en sónt ni les
maitres'
ni
mem·e
Jes
~1sufruiti~rs
; leur produit est destiné
a
un
se.rv¡ce pitblic ; il tient 1ieu
dl€s
impots
qu'i1