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pauvres ,
la
subsistance
des pr&tres , et
des
prieres particulieres pour .les familles d,es on...
clateurs.
Certainement les
quatre
premie.rsoh""
Jets
ne tiennent
qu'a
une destination publique•
I
.Je
poü.rrois dire du cinq1úem
e , qu'il
e~t
facile
·de croire que dans des siecles
d'igno~ance
·, la
plupart des fondateurs
ont
confondu le véri–
~able
culte avec
1-es
objets
religieux
qui ont
été
le motif de leúrs
fondations ,
~t
qui ont
détermine lettrs libéralités ; mais il
·S\1$ra
de
répondre que
les
fondations particulieres ne
~eront
pas
moins remplies ,- soit que le
de~g€
-soit propr'iétaire, soit
qu'il ne le soit pas; et
1
tl'ailleurs les membres du clergé n'ignorent
-¡~oi11t
que
toutes
les
p~ieres
de l'égiise ,
1
1ors
~eme
qu'elles orit une
d~stim1tion
particuliere,
tournent ·encere,
a
l'utilité commune de tom
les
ti.deles.»>-.
/
«
n
nie suffira .de faire observer sur la
tro~
-
s-ieme
-o.bjection, que les principes que
).,.:ti
établis
res~:~nt
les memes' soit que les
fond~-
c
•
•
•
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1
1
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I
I
1
t~urs
a1ent
tr~1te
aveq ,
.~
c1·erge
en genen. .
~
~u
avec-
chaque église
en
particulier.. Ce n'est
jaf1lais en faveur d'nn
ecdés iastiqtie, que les
fondations ·ont
été
fa~tes.
Si c"est en faveur
d'une église, chaque église
est
un corps mo–
r+:}.i , et
de~
-tors
1€-s
fond~ti:oqs
ne sont pas
/ z
l. .
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....J.