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1

(

.

'

( 3

5

4 )

sont censés

les

avoir approuvées, il faut

clcs–

lors appliquer

a

ces biens tout ce que

j'ai

dit

de ceux que l"église

a

rec;us directement

des

fondateurs.''·

" Vous avez dt1 etre étonnés,

Mes~ieurs

,

de

la maniere dont .

M.

l'abbé

Maury a cru ré-

. pondre

a

ces principes. D'un coté, a-t-il dit,

je

n'ai parlé que des fondations,

et

l'église

possede des biens

a

d'autres titres; d'un autre

coté '

tous les biens donnés

a

l'église n'ont

pas

été

destinés au culte' ni parconséquent

a

tilité publiqúe; en troisieme lieu , aucun

fondateur n'a traité avec l'église en général,

mais sealement avec chaque église en parti-

culier- ''·

" 11

est facile , Messieurs, de répondre

a

ces trois objections. J'ai nécessairement parlé

ele tous

les

biens de l'église , lorsque j'ai parlé

de

eeux

qu'etle avoit res:us de nos Rois,

des

aggrégations politiques

et

des simples parti–

ct.iliers ;

car ses

donations , ses fondations ,.

ses

1egs,

se·s héritages ne peuvent avoir d'autre

S-ource

H.

'" D'un autre coté, les biens donnés

a

l'é–

glis.e

~

3,

quelque titre que ce soit, n'ont pu

avoir que ces. cinq objets ;· le service du culte,

rentretien

des temples ' le soulagement des